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Fati Ouédraogo remporte le 1er prix de la 12ème dictée radiophonique
Publié le dimanche 7 juillet 2013   |  AIB




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Ouagadougou -Fati Ouédraogo, conseillère d’administration scolaire et universitaire(CASU) a remporté samedi, le premier prix de la douzième édition de la dictée radiophonique, organisée par la radio privée commerciale ‘’Pulsar FM’’.

Fati Ouédraogo a remporté le premier prix de la douzième dictée radiophonique, un concours de dictée administrée sur les ondes de la radio privée commerciale, ’’Pulsar FM’’ depuis 1997.

Elle a reçu lot composé entre autres d’un dictionnaire universel, de trois livres, de quinze cahiers, de quatre CD magazines DW, d’une bande dessinée, des crayons de couleurs et des stylos.

La dictée radiophonique 2013 a enregistré 255 inscrits. Mme Ouédraogo qui n’est à « qu’à sa troisième participation » a indiqué qu’elle ne s’attendait à décrocher le premier prix. Néanmoins « la dictée était très abordable », a-t-elle ajouté.

« Il y avait beaucoup de candidats qui n’étaient certainement pas les moindres mais la dictée c‘est quelque fois la chance par ce qu’il ya des fautes qu’on commet par inattention », a poursuivi la lauréate.

Le deuxième et le troisième prix ont été remportés respectivement par François Sam élève-fonctionnaire et Mathias Sawadogo, greffier. Outre ces prix, trois autres prix dits d’encouragements ont été remis aux trois plus jeunes candidats de cette présente édition.

La dictée radiophonique œuvre non seulement à la promotion de la langue française mais aussi prône et encourage l’excellence, a indiqué le président de la Commission nationale de la Francophonie, Emmanuel Convelbo, dont la structure parraine l’évènement depuis sa première édition.

« Grâce à langue française, nous arrivons à communiquer entre nous parce que nous sommes d’ethnies diverses et n’eut été elle, il serait difficile pour nous de dialoguer et de se comprendre, de prôner la paix et toute les autres vertus », a affirmé M. Convelbo.

Le français qui est la langue officielle du Burkina Faso comptant une soixantaine d’ethnies, n’est cependant pas maîtrisé par une très grande majorité de la population du fait du taux élevé de l’analphabétisme.

RS/TAA


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