L’OMS a publié ce lundi une série de directives destinée aux professionnels de santé qui s’occupent des victimes de mutilations génitales. L’organisation estime que 200 millions de femmes et de filles en ont subi. Des pratiques qui ont des conséquences sur la santé physique, mais aussi psychologique et qui peuvent avoir des complications fatales.
C’est en Afrique que l’on recense le plus grand nombre de mutilations génitales, mais les conséquences de la migration de populations font que les médecins occidentaux ne connaissent pas suffisamment les problèmes liés à ces pratiques.
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Pour Sokhna Fall, psychothérapeute, qui reçoit ces femmes dans l’unité de soins des femmes excisées au Kremlin Bicêtre, ces directives de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour améliorer les soins aux victimes de mutilations sexuelles sont les bienvenues.
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