Le ministre de l’Eau et de l’Assainissement, Niouga Ambroise Ouédraogo, a reçu en audience l’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique au Burkina Faso, Tulinabo Mushingui, le lundi 18 avril 2016 en son cabinet, sis à Ouaga 2000. Les deux personnalités se sont entretenues plus d’une heure durant sur les priorités du département.
Quel type d’accompagnement apporter pour pérenniser les acquis engrangés dans le secteur de l’eau et de l’assainissement ? C’est l’une des principales préoccupations que l’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique au Burkina Faso, Tulinabo Mushingui est venu partager avec le ministre de l’Eau et de l’Assainissement, Niouga Ambroise Ouédraogo, le lundi 18 avril 2016 en son département à Ouagadougou. Les deux personnalités ont discuté des priorités du secteur pendant plus d’une heure. «C’est une visite de courtoisie. Depuis que le nouveau gouvernement est en place nous sommes en train de frapper aux portes des différents ministères pour échanger sur les priorités de chaque département. L’eau est un sujet très important et clé dans le développement du pays.
Ce matin nous avons parlé des questions relatives aux forages, aux barrages et à la distribution d’eau. Nous avons surtout vu avec le ministre comment réorienter les différentes priorités.
Et comment nous, nous allons continuer à accompagner le peuple burkinabè», a indiqué le représentant du «pays de l’Oncle Sam», au Burkina Faso à sa sortie d’audience. Plus concrètement les deux personnalités se sont appesanties sur les différents programmes financés par les Etats-Unis d’Amérique.
«Nous avons essayé de voir comment on va pérenniser les acquis du premier compact. Il y a, à peu près 2 240 hectares de périmètre irrigué, que va t-on en faire ? Le ministère en charge de l’eau va avoir beaucoup à faire dans la distribution de l’eau. Nous avons discuté de la question de priorité résilience pays qui est un document qu’on venait de terminer quand les deux ministères étaient ensemble. Dans ce document, le ministère en charge de l’eau aura une grande partie à réaliser.
Il y a aussi le programme résilience dans le Sahel où nous sommes déjà en train de travailler dans trois régions. Là il a été question de voir les actions que peut entreprendre le ministère», a-t-il souligné. Il a fait savoir que cette visite était nécessaire pour accorder les violons et comprendre les priorités du domaine en vue de mieux accompagner le peuple burkinabè.
La direction de la communication et de la presse ministérielle