Lancé en 2013 par Moctar Dembélé et Gérard Niyondiko, la start-up FasoSoap mise sur un savon anti-moustique censé limiter les risques d’infection. Après une période difficile, la jeune pousse se tourne vers le financement participatif en ligne pour amorcer les tests puis la distribution africaine de sa création.
Pour le deuxième numéro de notre rubrique sur les start-up africaines, Jeune Afrique met en avant le burkinabè FasoSoap. Cette jeune pousse, initialement portée au départ par le Burkinabè Moctar Dembélé et le Burundais Gérard Niyondiko — tous deux passés par les bancs du prestigieux Institut international d’ingénierie de l’eau et de l’environnement (2iE) de Ouagadougou — veut fabriquer un savon préventif contre le paludisme.
Après avoir échoué à mobiliser des financements auprès d’institutionnels et des organismes de recherche gouvernementaux, FasoSoap s’en remet au financement participatif pour amorcer la distribution africaine de sa création.
... suite de l'article sur Jeune Afrique