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© Autre presse par DR
L’université de Ouagadougou baptisée au nom du Pr Joseph Ki-Zerbo |
Ouagadougou - Des étudiants burkinabè issus de plusieurs instituts, ont participé samedi, à un concours national de programmation informatique, en vue d’un concours régional prévu en octobre, a constaté l’AIB.
Le concours national de programmation informatique organisé samedi au Centre de recherches et d’informatique de l’Université Ouaga 1, a pour objectif de former les étudiants burkinabè qui participeront à une compétition qui regroupera entre autres, le Burkina Faso, le Benin, le Togo, et le Niger.
Pour cette première édition, huit universités y ont pris part. Avec 27 équipes inscrites au départ, seulement 17 ont été retenues, composées de trois personnes par groupe.
Il a été demandé aux candidats de résoudre le ou les problèmes dans un langage retenu par les organisateurs avec moins de pénalités. Les équipes ont ensuite soumis leurs solutions au jury, qui après vérification octroie des points.
Les quatre premières ont été récompensées mais seules 10 équipes participeront au concours sous régional de programmation.
Selon une note d’information, cette activité vise à faire de l’Afrique et plus particulièrement de l’Afrique occidentale, un carrefour de compétences incontournables dans le domaine de la programmation informatique.
-Satisfaction générale-
Cette première compétition vise aussi à susciter la concurrence au sein de la couche estudiantine passionnée des TIC en général, et de la programmation informatique en particulier.
Arnaud Bationo, leader de l’équipe «les professeurs», vainqueur de cette compétition, a remercié MAPCOM et ses partenaires pour cette initiative.
«Sans eux, ce concours n’aurait pas existé. J’ai trouvé que c’est vraiment une belle initiative car ça nous permet d’étudier l’informatique, de nous émuler et de nous surpasser », a-t-il dit.
Pour le Chef de service commercial de MAPCOM Technologie du Burkina Faso, la programmation informatique qui est la base de beaucoup de choses, a permis à son PDG «d’être ce qu’il est aujourd’hui».
«Il faut bien sûr détecter des talents et les accompagner pour que demain, ces talents soient incontournable sur le marché de l’emploi et surtout dans le domaine de l’informatique», a ajouté le commercial.
Agence d’Information du Burkina
fo-ndt/taa
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