Au Burkina Faso, la Coalition contre la vie chère, qui regroupe une vingtaine de syndicats et d‘organisations de la société civile, s'inquiète de la récente libération de certaines personnalités politiques.
Des personnalités politiques accusées d'avoir commis des crimes de sang et des crimes économiques sous l'ère Compaoré. La coalition veut aussi faire la lumière sur plusieurs affaires survenues sous le gouvernement de transition qui a conduit le pays aux élections un an après la chute de Compaoré
Moussa Diallo, Représentant de la Conféderation générale du travail du Burkina, membre de la coalition qui dénonce l'impunité, dit qui la loi a été violée, parce qu'il n'y a jamais eu de procès pour juger les responsables de la répression des manifestations de 2014.
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