Au moment où les autorités burkinabées attendaient toujours l’exécution d’un mandat d’arrêt international émis le 21 décembre 2015 à l’encontre de l’ancien président du Burkina Faso, Blaise Compaoré, Abidjan a adressé une réponse diplomatique à Ouagadougou. Le président Alassane Ouattara a accordé la nationalité ivoirienne à son hôte, recherché pour son implication présumée dans la mort de l’ancien chef d’Etat burkinabé Thomas Sankara, tué avec douze de ses compagnons le 15 octobre 1987.
La décision d’Alassane Ouattara, diffusée dans les médias ivoiriens le 22 février, fait écho à sa déclaration du 15 janvier 2016 : « Comme la France, la Côte d’Ivoire n’extrade pas ses nationaux. »
Au moment où les autorités burkinabées attendaient toujours l’exécution d’un mandat d’arrêt international émis le 21 décembre 2015 à l’encontre de l’ancien président du Burkina Faso, Blaise Compaoré, Abidjan a adressé une réponse diplomatique à Ouagadougou. Le président Alassane Ouattara a accordé la nationalité ivoirienne à son hôte, recherché pour son implication présumée dans la mort de l’ancien chef d’Etat burkinabé Thomas Sankara, tué avec douze de ses compagnons le 15 octobre 1987.
La décision d’Alassane Ouattara, diffusée dans les médias ivoiriens le 22 février, fait écho à sa déclaration du 15 janvier 2016 : « Comme la France, la Côte d’Ivoire n’extrade pas ses nationaux. »
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