La paix et la sécurité au centre d’un entretien entre le Président Blaise Compaoré et le Groupe africain de Vienne #aOuaga

Politique

La paix et la sécurité au centre d’un entretien entre le Président Blaise Compaoré et le Groupe africain de Vienne

Publié le lundi 17 juin 2013 | Présidence

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Le Président Blaise Compaoré à Vienne pour consolider le partenariat entre le Burkina Faso et l’OTICE
Mercredi 12 Juin 2013, Vienne, en Autriche. Le Président du Faso, Son Excellence Monsieur Blaise Compaoré, est arrivé à Vienne, pour prendre part à l’ouverture de la 40ème session de la conférence préparatoire de l’Organisation du traité d’interdiction complète des essais nucléaires (OTICE)

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Audiences du chef de l’Etat en 2013

Les chefs de mission diplomatiques et consulaires d’Afrique accrédités en Autriche, réunis au sein du Groupe africain, ont eu un entretien avec le Président du Faso, le 14 juin 2013 à Vienne.

Le Président Compaoré et les Ambassadeurs et représentants du Groupe africain à Vienne ont échangé sur des sujets touchant l’unité, la solidarité, la paix, la sécurité et l’élection du burkinabè Lassina Zerbo au secrétariat exécutif de l’Organisation du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires (OTICE).

Pour Blaise Compaoré, la désignation du Docteur Zerbo à la tête d’une institution mondiale fait ressortir deux aspects importants.
Le premier est que l’Afrique regorge de compétences, d’expertises inestimables qui peuvent être bénéfiques à l’humanité entière.
La seconde apparait dans la solidarité dont l’Afrique a fait montre pour présenter une candidature unique, celle de Lassina Zerbo, lors du processus de vote à l’OTICE. «…En rang dispersé il n’était pas évident que ce poste tant convoité revienne à un Africain.»

Un autre thème abordé durant la rencontre est celui de la paix et de la sécurité. Selon le Président du Faso les crises et conflits sont avant tout d’ordre politique et leur résolution ne peut qu’être politique, à travers le dialogue et la concertation.

Médiateur de la CEDEAO pour le Mali, Blaise Compaoré a expliqué comment, par des pourparlers, il a amené des belligérants à « mettre de l’eau dans leur vin » et renoncer à des revendications extrémistes, au nom de la paix dans leur pays et dans la sous-région ouest-africaine.

Les guerres fratricides donnent une perception négative de l’Afrique, selon le chef de l’Etat burkinabè. Il convient de soigner l’image du continent, de travailler à la promotion d’une meilleure vision des Africains, et cela incombe à tous les fils et filles d’Afrique.

La Direction de la communication de la présidence du Faso

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