Les motivations du mandat d'arrêt international délivré par la justice burkinabè à l'encontre de Guillaume Soro se précisent.
Les juges chargés de l’enquête concernant la tentative de coup d’État de l’ex-régiment de sécurité présidentielle (RSP) veulent surtout entendre Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale ivoirienne, sur deux points. 1. La découverte lors d’une perquisition à son domicile à Ouagadougou de 300 gilets pare-balles et de grenades. 2. L’aller-retour d’un hélicoptère de l’armée de l’air burkinabè entre Ouaga et la petite ville de Niangoloko, près de la frontière ivoirienne, le 19 septembre, deux jours après la prise du pouvoir par le général Gilbert Diendéré.
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