Le projet Une Lampe pour l’Afrique a tenu sa deuxième session ordinaire

News

Société

Article

Société

Publié le jeudi 14 janvier 2016 | Sidwaya

Le projet Une Lampe pour l’Afrique a tenu sa deuxième session ordinaire du comité de pilotage, le jeudi 31 décembre 2015, à Ouagadougou. Présidée par le secrétaire général du ministère de l’Education nationale et de l’Alphabétisation, Yombo Paul Diabouga, président du comité de pilotage, cette session a enregistré un bilan satisfaisant.

Le projet Une Lampe pour l’Afrique a des raisons de se réjouir des résultats auxquels il est parvenu au cours de l’année 2015. Lors de cette deuxième session , les membres statutaires ont reconnu les performances enregistrées (par le projet). La présentation du bilan annuel faite par la coordonnatrice du projet Mme Sanata Sawadogo /Congo donne un résultat satisfaisant. "En effet, le taux d’exécution physique est de plus de 96% tandis que le taux d’engagement financier est de 100%. Cela se justifie aisément par le fait que la quasi-totalité des activités programmées ont connu une issue heureuse", a-t-elle indiqué. Poursuivant sa présentation, elle a souligné qu’il en est de même pour le décaissement des fonds qui a connu un essor considérable. Le programme d’activités 2016, quant à lui, fait tout d’abord le rappel des objectifs du plan de travail annuel 2016 avant de décliner la programmation budgétaire et celle des activités. Il fait ensuite ressortir la répartition des établissements bénéficiaires des kits solaires pour l’année 2016, le plan de passation des marchés et enfin les principaux défis. A l’issue de ces deux présentations, certains membres du comité de pilotage ont posé des questions d’éclaircissement et apporté des contributions fort utiles pour améliorer les performances du projet. Ils ont reconnu les mérites du projet qui a su surmonter des obstacles pour arriver à un bilan satisfaisant. En tout état de cause, le comité de pilotage a recommandé l’inscription de l’acquisition des kits solaires dans le budget «contrepartie de l’Etat» en vue de la pérennisation du projet. La question liée au renforcement des capacités des acteurs sur le terrain est revenue et il faudrait tenir compte de certaines réalités (intendants des CEG et professeurs de physique-chimie, maintenanciers locaux) si l’on veut réussir les futures actions à mener. Enfin, le président du comité de pilotage a exhorté le projet à persévérer dans sa dynamique afin d’être un acteur incontournable pour relever le défi de la qualité de l’éducation au Burkina Faso.

Service Communication PLPA