Djibrill Bassolé, l'ex-ministre burkinabè des Affaires étrangères, et Guillaume Soro, le président de l'Assemblée nationale ivoirienne, ont assuré mercredi, via leurs porte-paroles et conseils, qu'ils n'étaient pas impliqués dans un enregistrement sonore sulfureux et non authentifié, rendu public par des personnalités pro-Gbagbo.
Dans ce document sonore au contenu explosif, publié le 12 novembre, la conversation téléphonique qu’on entend est présentée comme celle de Guillaume Soro, ancien chef de la rébellion ivoirienne soutenue par l’ex-président burkinabè Blaise Compaoré, avec Djibrill Bassolé, ancien ministre des Affaires étrangères de Compaoré. Ce dernier, accusé de haute trahison après le putsch raté du général Diendéré, est actuellement écroué à Ouagadougou.
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