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Burkina Faso : le Parlement réduit l’amende pour les journalistes en cas de diffamation
Publié le vendredi 18 decembre 2015  |  Xinhua
CNT
© aOuaga.com par A.O
CNT : c`est parti pour l`unique session de 10 mois
Lundi 22 décembre 2014. Ouagadougou. Hôtel du député. Le Conseil national de la transition (CNT) a ouvert solennellement sa session unique qui va durer 10 mois




OUAGADOUGOU- Le Parlement burkinabè a décidé jeudi de baisser l'amende pour les journalistes en cas de diffamation, ramenant la fourchette d'un à cinq millions à 0,3 à trois millions de FCFA.
Selon les députés du Conseil national de la Transition (CNT), les amendes d'auparavant (1 à 5 millions) étaient trop élevées et en déphasage avec les réalités économiques et financières des entreprises de presse burkinabè.

"Si chacun est convaincu du rôle joué par les journalistes pour l'avènement d'une véritable démocratie au Burkina Faso, particulièrement lors de l'insurrection populaire et du coup d'Etat, personne ne voudra les récompenser par une loi conservant les peines qui ne font pas consensus", a justifié le CNT.
Le 30 juillet dernier, le gouvernement burkinabè avait annoncé la suppression des peines privatives de liberté pour les journalistes.
L'ancien code de l'information de 1993, rappelle-t-on, condamnait le journaliste à la peine de prison assortie d'une amende n'excédant pas un million. Fi
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