Le président burkinabè, Michel Kafando, a lancé le 08 décembre la deuxième phase du projet Ziga qui vise à porter les capacités de traitement actuelles de la Société nationale des eaux à 7 500 mètres cubes par heure. Pour un coût de 158,5 millions d'euros.
Les travaux de construction de la station de pompage de Ziga II – un barrage situé à 50 kilomètres de Ouaga – exécutés par l’entreprise française, Sogea Satom, filiale du français Vinci Construction spécialiste du BTP en Afrique – en groupement avec la société de traitement de l’eau Degrémont (Suez) – sont estimés à 104 milliards de francs CFA (environ 158,5 millions d’euros).
Les travaux, prévus pour durer 22 mois, visent à doubler les capacités de traitement de Ziga pour le compte de l’Office national de l’eau et de l’assainissement (Onea) qui approvisionne la capitale burkinabé.
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