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© aOuaga.com par G.S
Le chef de l`Etat élu, Roch Marc Christian Kaboré, a reçu en audience, le 4 décembre 2015 au siège de campagne de son parti à Ouagadougou, le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Me Barthélemy Kéré |
Porté à la tête de la magistrature suprême à l’issu de la présidentielle du 29 novembre dernier, Roch Marc Christian Kaboré a reçu ce vendredi 4 décembre 2015 la visite de Me Barthélémy Kéré, président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), qui est venu en compagnie de commissaires de la Ceni pour le féliciter.
C’est accompagné de l’ensemble des commissaires en charge de l’organisation du scrutin que Me Kéré s’est rendu au quartier général du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP). A travers cette visite, il était question pour la délégation de la Ceni de « venir féliciter le président du Faso et lui souhaiter bonne chance et courage dans sa prochaine activité », a laissé entendre Me Kéré. « Pour le président élu, il s’agira de faire la synthèse des aspirations du peuple burkinabè, et la tâche s’annonce difficile », a-t-il ajouté.
Par ailleurs, « en tant qu’organe en charge de la gestion des élections, nous avons tenus à venu saluer le président du Faso, pour le rôle particulier qu’il a joué pour une campagne apaisée et un scrutin dans le calme », a dit encore Me Kéré. Poursuivant ses propos, il a rappelé que tous les candidats, d’une manière ou d’une autre, ont fait preuve de grandeur et de sagesse durant la période électorale, d’où l’acceptation globale des résultats du scrutin.
Le président de la Ceni a rassuré que l’institution qu’il dirige fera le tour de l’ensemble des candidats afin de saluer leur esprit fair-play dont ils ont fait preuve.
Soulignons que ce vendredi 4 décembre le président élu, Roch Marc Christian Kaboré, a rendu une visite à quelques leaders religieux et traditionnels. Sur son agenda ce vendredi, étaient prévues des visites à la Fédération des églises et missions évangéliques (FEME), au palais de sa Majesté le Mogho Naaba et à la grande mosquée de Ouagadougou, pour y échanger la communauté musulmane.
Guy Serge Aka
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