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© Autre presse par DR
Birahima Nacoulma, président du Conseil national du patronat burkinabè (CNPB) |
Ouagadougou - Le monde des affaires nourrit de fortes attentes à l’égard des futures autorités qui seront issues de l’élection présidentielle du 29 novembre prochain, révèle une enquête du Conseil national du patronat burkinabé (CNPB) dont APA a reçu copie.
Les responsables du CNPB ont questionné les 14 candidats à la présidentielle sur la place du secteur privé dans leurs programmes.
Selon le Fonds monétaire international (FMI), les perspectives économiques du pays sont favorables et l'économie devrait regagner le chemin de la croissance avec un rebondissement de 5% en 2015 et une forte croissance projetée à 7 % pour 2016.
Les attentes du secteur privé tournent autour du renforcement du dialogue public/privé pour permettre la prise de mesures conséquentes de relance de l'économie, la sécurité des investissements, la prise en compte des pertes économiques subies par les entreprises lors de l'insurrection populaire.
‘'Le secteur privé burkinabè a toujours eu une capacité de résilience face aux chocs endogènes et exogènes et saura une fois de plus se relever pourvu que les pouvoirs publics l'accompagnent'', assure Birahima Nacoulma, président du CNPB.
Créé en 1998, le CNPB a pour objectif, entre autres, de contribuer au Burkina Faso et dans la sous-région, à l'instauration d'un environnement propice à l'expansion de secteur privé, en vue de promouvoir le développement économique et social.
Composé de 85 groupements, associations, syndicats, unions, fédérations et de certains ordres, l'organisation est présente dans tous les secteurs d'activités de l'économie.
TT/cat/APA
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