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UNIR/PS : en attendant Mariam
Publié le vendredi 20 novembre 2015  |  L`Observateur Paalga
Présidentielle
© L’Express du Faso par Evrard Ouédraogo
Présidentielle 2015 : Me Bénéwendé Sankara désigné candidat unique des sankaristes
Dimanche 17 mai 2015. Ouagadougou. Palais des sports de Ouaga 2000. La convention pour le renouveau sankariste de 48 heures s`est achevée par la désignation de Me Bénéwendé Sankara comme candidat unique des partis sankaristes à l`élection présidentielle du 11 octobre 2015. Photo : Mariam Sankara, marraine de la convention




La saison des pluies terminée, ce n’est pas pour autant le repos, tant mérité, pour nos braves paysans, comme on les appelle, après trois à quatre mois de dur labeur. Si les dabas et autres charrues ont été soigneusement rangées en attendant le prochain hivernage, faucilles et autre matériel tranchant sont sortis à l’occasion de la période des récoltes qui bat actuellement son plein dans les campagnes. Mais, haya ! Comme on le dit, autres temps, autres mœurs. Disant cela, je revois l’image du pauvre karansamba Elie, juché sur sa BB CT, lèvres blanchies par le froid de novembre, allant de champ en champ pour persuader les parents de libérer leurs mômes du fauchage afin que ces derniers puissent reprendre le plus tôt possible le chemin de l’école.

Aujourd’hui, après plusieurs années de campagne de sensibilisation, les instituteurs du village ne se donnent plus cette peine qui fut celle de leurs prédécesseurs. Pas plus qu’ils ne reprendront les cours pour les écoliers qui viendront en retard en classe pour cause de travaux champêtres. Te voilà donc prévenu et fais-toi le devoir de prévenir à ton tour le vieux Sotissi, lui qui renâcle toujours à se conformer à l’air du temps.

Cela dit, cher cousin, les campagnes pour la présidentielle et les législatives, débutées respectivement le 8 et le 21 novembre derniers, entrent dans la dernière ligne droite avant la date décisive du 29 novembre. Une période électorale qui, malgré les grands enjeux en cours, reste désespérément terne, sans saveur ni chaleur. Ceux qui avaient rêvé de joutes oratoires, comme du temps de Jo Weder, Gérard Kango Ouédraogo, et j’en oublie, en sont pour leurs frais.

Faut-il imputer cette misère de la campagne électorale au fameux Code électoral qui interdit la distribution de tee-shirts et autres gadgets publicitaires? Ou faut-il y voir le signe de l’avènement d’une nouvelle génération de politiciens 2.0, plus à l’aise avec Facebook, Twitter, You Tube, LinkedIn, qu’avec le micro ?

Plus qu’une petite dizaine de jours donc et les Burkinabè iront aux urnes pour choisir leur président et leurs députés pour les cinq prochaines années. Les 14 candidats à la présidentielle sont confiants sinon ils ne seraient pas sur la ligne de départ. Mais comme il s’agit d’un fauteuil et non d’un banc présidentiel, seule une personnalité pourra rafler la mise. Entre les uns qui sont convaincus de gagner au 1/8 de tour, les autres qui sont persuadés qu’il y aura des surprises et ceux ou celles qui veulent faire mentir les pronostics, chacun vend sa marchandise électorale comme il peut.

Alors que la dernière ligne droite s’amorce, cher cousin, un nouveau sondage d’opinion vient de tomber. Il émane encore de l’Institut de recherche et de sondage Apidon (IRSOA) et a été réalisé au téléphone du 3 au 10 novembre sur un échantillon représentatif de 3014 personnes réparties sur l’ensemble du territoire. Et à la question de savoir « si les élections avaient lieu aujourd’hui pour quel candidat êtes-vous prêt à voter ? », les sondés placent Roch en tête avec 45,20% suivi de Zéphirin Diabré (24,55%) ; Me Sankara arrivant troisième mais très loin derrière avec 3,99% tandis qu’Ablassé plafonne à 1,36 %. A la traîne, une cargaison des autres prétendants qui totalisent à eux dix 2,5 %. Cher Wambi, à chaque fois je me pose la même question : dans nos pays où les statistiques ne sont pas toujours fiables, quel crédit peut-on accorder à ces chiffres qui ne sont que la photocopie des intentions de vote à un temps T ? On le saura au soir du 29 novembre mais s’ils devaient s’avérer, ça voudrait dire qu’il n’y aura ni quart ni huitième de tour mais bien une finale. Là où il faut prendre ces données avec prudence, c’est qu’il y a 22,3 % d’indécis, c’est-à-dire en français facile pour toi qui as fait bantaaré, que sur 100 personnes interrogées, il y a plus de 22 qui ne savent pas encore qui aura leur faveur. Près d’un sondé sur quatre, c’est énorme et Dieu seul sait que ça peut venir tout chambouler, dans un sens ou dans un autre.

Cher Wambi, je t’annonce cette nouvelle qui ragaillardira certainement ton voisin Kuilga, ce fervent militant du parti de l’Œuf : Mariam Sankara, la veuve de Thomas Sankara, sera bientôt dans nos murs à partir du dimanche 22 novembre 2015. Et s’il y a électrice qui ne fait pas grand mystère de la nature du bulletin qu’elle mettra dans l’urne le 29 novembre prochain, c’est assurément cette dame qui réside en France (Montpellier) depuis la mort de son célèbre époux. Mariam Sankara vient en effet apporter son soutien (de taille ?) au candidat à la présidentielle Me Bénéwendé S. Sankara. On se rappelle qu’elle était présente lors du dernier congrès de l’UNIR-PS. Pour celle qui avait témoigné, lors d’une audience avec le chef de l’Etat Michel Kafando, n’avoir jamais voté de sa vie, c’est l’occasion de s’exercer à ce devoir des plus citoyens.

Cher cousin, je reste encore collé à la présidentielle à venir pour te faire part de cette nouvelle qui a fait le buzz hier dans tout Ouagadougou à travers les réseaux sociaux et bien sûr le bouche-à-oreille. De quoi est-il question ici ? Eh bien, il s’agit de ce soutien officiel que le CDP aurait apporté au candidat de l’UPC, Zéphirin Diabré. Un « scoop » qui a même fait la Une d’un important journal ivoirien en ligne. Mais selon un haut responsable de l’UPC, il n’en est rien. Même son de cloche du côté de l’ex-parti au pouvoir, où, m’a-t-on appris, aucune consigne ne sera donnée au premier tour de la présidentielle. Invitation a été faite aux militants de se consacrer uniquement aux candidats du parti pour les législatives.

Laissant le soin aux membres du comité en charge des alliances en cas de second tour. Mais sur la question, le CDP est actuellement traversé par trois courants. Un premier groupe de cadres du parti préconisent que, tant qu’à faire, autant apporter le soutien au MPP, car après tout, «les deux formations politiques ont la même doctrine politique», à savoir la social démocratie, partagent vingt-sept ans de bilan politique et, in fine, n’ont été divisés que sur la question de l’article 37, laquelle n’est plus d’actualité. Une option que rejette un deuxième carré d’irréductibles du tout sauf le MPP dont les ténors ne sont ce qu’ils sont aujourd’hui que grâce au pouvoir de Blaise Compaoré. Mais pour la troisième tendance, il est préférable de cheminer avec le candidat du second tour qui sollicitera les voix du CDP. Si les deux en sont preneurs, alors le dernier mot reviendrait au comité en charge des alliances.

Cher Wambi, s’il est une chose qui va faire beaucoup jaser, c’est cette affaire de bulletin de paie de certains ministres.

En effet, pour le traitement des salaires de ce mois de novembre, les ordinateurs de la Solde ont « bugué », comme on le dit dans le jargon de l’informatique, tant certains membres du gouvernement ont été mandatés à des montants qui ont affolé les logiciels. Les pauvres spécialistes ont beau se résoudre à s’y reprendre plusieurs fois, les machines, formatées selon la grille des agents de la Fonction publique et même des membres du gouvernement, rejetaient les cas de mandatements de ces ministres.

Comme tu le sais, cher Wambi, je n’aime pas parler de salaires, ça fait partie des données personnelles, même si évidemment l’exigence de la bonne gouvernance veut qu’il y ait la transparence sur tout ce qui touche aux deniers publics. Ce sont ces scrupules qui ont fait que je n’ai pas voulu te faire état des biens des nouvelles autorités de la Transition à leur entrée en fonction.

Mais ce coup-ci, je m’en voudrais de ne pas t’en piper mot, tant l’affaire laisse pantois.

Tiens-toi bien, cher cousin, que cinq ministres du gouvernement Zida percevront à la fin des montants allant de 4,6 à plus de 21 millions de francs CFA net. La raison : ils viennent de bénéficier d’importantes augmentations de salaires dans le cadre de nouveaux contrats signés avec l’Etat, avec rappels qui s’étendent jusqu’au jour de leur prise de fonction. Sur cette nouvelle base, chacun de ces ministres percevra un salaire supérieur à celui du Premier ministre, dont la traite mensuelle nette est de 1 254 887 francs, et même à celui de M’Ba Michel himself qui reçoit 2 198 320 francs mois.

Note, cher Wambi, que selon les textes chaque ministre coûte en principe 1 023 320 francs.

D’où la question : en quoi consistent ces fameux contrats ? Pourquoi ces augmentations vertigineuses interviennent-elles à quelques mois de la fin de la Transition ? Et enfin pourquoi choisir de les faire en pleine campagne politique, comme si on voulait profiter de la fièvre électorale pour faire passer la chose en catimini ?

Quand on se rappelle, cher Wambi, que dès le début de leur nomination, les membres du gouvernement ont répété à l’envi qu’ils sont là pour servir une cause patriotique, certains, comme le professeur Augustin Loada, clamant publiquement que l’exercice de la fonction ministérielle relevait pour lui d’un sacrifice, car comparé à ce qu’il gagnait avant, il perdait au change, on ne peut que tomber des nues face à un tel marchandage de « patriotisme ».

Avec tout ça comment ne pas donner raison à celui-là qui disait qu’ « aucune révolution n’abolit les privilèges. On ne fait que les déplacer » ?

Cher cousin, avant de t’ouvrir le carnet secret de Tipoko, tu te rappelles que le Journal de Nakibeogo a été successivement éprouvé par la mort d’un de ses collaborateurs et de deux de ses employés. Il s’agit respectivement du cruciverbiste, Simon Bambara, plus connu sous le pseudonyme de Balex, du chauffeur Jean-Marie Kaboré et de Bernard Zangré, rédacteur en chef. Ce dernier, connu pour son sens de l’humour et jamais en retard d’une histoire cocasse, était une véritable interface entre le canard et le public. Inutile donc de te dire le grand vide qu’il laisse après sa disparition le 6 novembre dernier. Depuis cette date, la rédaction est inondée de messages de condoléances, de compassion et d’hommage au « chef Bernard », comme on l’appelait affectueusement. Le dernier en date nous vient de notre confrère Sita Tarbagdo, l’un de ceux qui a le plus côtoyé le disparu. Lis plutôt.

A mon confrère et ami Bernard Zangré,

« Bernard Zangré a rejoint la Terre de ses ancêtres pour le repos éternel. En ce moment de douleur et de tristesse intenses, il est de bon ton de rendre hommage à cet homme qui fut pour moi un confrère et un ami. Il a contribué à l'animation de la vie de la cité à travers sa plume vivante et alerte. Avec son art, son humour et surtout son talent, il a su apporter aux cœurs en souffrance le réconfort. Aux âmes désespérées, il a su faire naître et germer l'espoir et l’espérance. De la solitude des maux qui consument, il a su exhumer la vie des mots qui consolent.

Puisse Dieu récompenser positivement, et au-delà de sa tombe, cet homme qui a fait la fierté de la vie ; de la presse burkinabè. La génération présente et celles futures s’efforceront de porter plus haut le flambeau de l’héritage que tu leur lègues.

Comme tu aimais me le dire, mon ami, « La vie est une vaste scène de théâtre où chacun vient jouer son rôle. L'essentiel, c'est de n'avoir jamais à jouer le mauvais rôle ». Bernard Zangré, tu t’en es allé la conscience tranquille. Car tu as joué le rôle que chacun de nous aimerait jouer au soir de sa vie, pour léguer aux générations un héritage de sagesse, de rectitude et du journaliste consciencieux.

Mon confrère et ami Bernard, ne serait-ce que pour cela, repose en paix ! Et que la terre de Saponé qui t’a vu naître et que tu as tant aimée te soit reconnaissante.

En témoignage de notre amitié ».

Sita Tarbagdo

Journaliste

Cela dit, je feuillette pour toi le carnet secret de Tipoko l’Intrigante.

- A 24 heures de l’ouverture du championnat national de football saison 2015-2016 à Ouahigouya, on se demande si la probité habitera tous les hommes en noir. En effet, depuis quelques mois, une affaire de corruption supposée dans le milieu de l’arbitrage burkinabè suscite des inquiétudes.

L’affaire, apprend-on, remonte à la fin de la saison 2012-2013 et a été mise sur la place publique par Adama Kiemtoré, un arbitre fédéral. Celui-ci a révélé que Serges Paulin Ilboudo de la Commission centrale des arbitres (CCA) l’avait approché pour qu’il siffle en faveur de l’équipe de l’ASEC de Koudougou qui était en déplacement à Tougan pour jouer contre le Sourou Sports. Les visiteurs, qui étaient en danger, devaient gagner pour assurer leur maintien en D1. Ce qui a été fait, mais selon Kiemtoré il avait dirigé le match de façon impartiale et à sa grande surprise Paulin lui avait remis quelque temps après une enveloppe contenant de l’argent. Le jeune arbitre, qui était à ses débuts, a décliné l’offre et depuis lors il sent qu’il est écarté dans le cadre des activités de la Commission centrale des arbitres. A titre d’exemple, il n’avait pas participé au dernier stage international des arbitres bien qu’il soit arbitral fédéral et ancien international.

On le voit, la situation est vraiment bizarre entre la CCA et l’arbitre et c’est quand même étonnant que la Fédération burkinabè de football (FBF) jusque-là garde le silence. Outre cette affaire, la structure que dirige David Yaméogo ne reconnaît pas l’Union nationale des arbitres du Burkina dont la création remonte à 1994 et qui était dirigée par Yacouba Ouédraogo. Aujourd’hui, c’est Ousmane Diallo, un ancien arbitre international, qui a pris le relais lors d’une assemblée générale organisée en 2015 à Fada à quelques semaines de la CAN en Guinée Equatoriale. A l’UNAF, on est de plus en plus convaincu que la CCA travaille en vase clos et que la désignation des inspecteurs arbitres ne se fait pas dans les règles de l’art de même que la formation des arbitres inspecteurs. Ce sont les mêmes qui vont toujours à l’extérieur alors que des anciens comme Lassina Paré, Mamadou Ouattara, dit ressort, et autres sont royalement ignorés. La structure technique de la FBF ferait preuve de favoritisme et envisagerait de créer une nouvelle structure des arbitres. En tout cas, si ce projet voit le jour, c’est la division qui se profile à l’horizon et cela pourrait se ressentir sur le Faso où la corruption a fait son entrée.



- Le ciel ne finit pas de tomber sur la tête de Boukary Jacques Niampa, ci-devant chef du département des Infrastructures de la Présidence du Faso. A l’instar d’autres grands commis de la présidence dont les postes sont considérés à tort ou à raison comme particulièrement juteux, Niampa comme on l’appelle est depuis quelques semaines déjà dans le viseur de l’Autorité supérieure de contrôle d’Etat (ASCE) qui a quasiment élu domicile à Kosyam où elle s’intéresse particulièrement aux affaires de certains proches collaborateurs de l’ancien président Blaise Compaoré. Après cette visite tant redoutée du Pr Ibriga et de ses hommes, dont l’ancien maire de Titao se serait bien passé, M’Ba Michel à travers un décret présidentiel mettait fin mercredi dernier à ses fonctions.

Pourtant Boukary Jacques Niampa était jusqu’à la date du 18 novembre 2015 l’un des rares rescapés de la galaxie Compaoré maintenu dans ses fonctions au Palais de Kosyam après l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2015.

En rappel, celui qui broie du noir aujourd’hui était également le responsable de l’immense zone présidentielle (90 000h) de vision et de tourisme cynégétique et candidat tête de liste du CDP dans le Lorum pour les législatives du 29 novembre 2015 où il a été élu trois fois consécutivement maire de la commune de Titao.

- Le comportement du milieu de terrain des Etalons Alain Traoré continue de faire des vagues, aussi bien dans les milieux du football que sur les réseaux sociaux. L’on se rappelle que le mardi 17 novembre dernier, lors du match retour Burkina # Bénin, comptant pour les éliminatoires du 2e tour des éliminatoires de la coupe du monde 2018, le joueur s’en était pris à son entraîneur Gernot Rhor, lui reprochant de lui avoir réservé un bout de match à jouer. Alain voulait avoir un meilleur temps de jeu, alors que Gernot Rhor ne s’est décidé à le lancer dans le match qu’à la 85e mn. Le joueur n’a pas apprécié cette entrée tardive, s’est illustré de la pire façon en faisant de grands gestes à l’endroit de son banc de touche et a même failli avoir une altercation avec certains coéquipiers, dont Aristide Bancé.

Une attitude qui a été sanctionnée surplace par le coach qui n’a plus effectué le remplacement. Et le public s’en était aussi pris au joueur en le huant. Si en conférence de presse le coach Rhor a reconnu que son milieu de terrain a manqué de professionnalisme, il a tout de même compris le comportement du joueur qui voulait réellement contribuer à la victoire des siens. Il a alors décidé de passer l’éponge sur l’incident et de lui pardonner. D’ailleurs, Alain qui a vite reconnu son tort, s’est excusé publiquement. Dans une vidéo diffusée à la télé nationale, le sociétaire de Lorient en France a souligné qu’il est humain et qu’il peut se tromper. Son coup de sang s’expliquerait par la longue période difficile qu’il a traversée. Espérons qu’avec ces excuses devant le peuple, les joueurs et l’encadrement des Etalons, l’incident est clos à jamais et que le garçon aura un comportement exemplaire à l’avenir.

- Grande cérémonie religieuse ce dimanche 22 novembre 2015 à Poédogo, secteur 10 de Ouahigouya. En effet, à l’occasion de la sortie de promotion d’apprenants formés par la Fondation Cheick Adama Aorèma Ouédraogo, et sous la présidence d’El hadj Abdoul Salam Boly, li s’y déroulera une séance de lecture du Coran par les élèves en fin de formation et la remise d’attestations. Ce sera sous le parrainage d’El hadj Ali Gourga Sawadogo, qu’on ne présente plus car père de l’autre, et les bénédictions des vieux et vieilles de la localité. Début de l’événement : 08 heures.

- A l’occasion de la célébration du 10e anniversaire de l’Union des magistrats burkinabè à la retraite placée sous le parrainage de Madame le ministre de la Justice, des Droits humains et de la Promotion civique, garde des Sceaux, le président de l’Union vous prie de bien vouloir honorer de votre présence la cérémonie d’ouverture de l’assemblée générale qui aura lieu le samedi 21 novembre 2015 à 9h dans la salle d’audiences commune à la Cour de cassation et au Conseil d’Etat à Ouagadougou.

- A l’occasion du 10e anniversaire de l’érection de la paroisse et de l’installation de son curé, l’équipe pastorale et la communauté chrétienne de la paroisse Christ Roi de Pissy vous prient de bien vouloir prendre part à la célébration eucharistique présidée par S. Exc. Mgr Léopold Médard Ouédraogo, évêque auxiliaire de Ouagadougou, le 22 novembre 2015 à 8h.
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L`Observateur Paalga N° 8221 du 27/9/2012

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