Le contenu d'un enregistrement sonore présenté comme celui d'une conversation téléphonique entre Guillaume Soro et Djibrill Bassolé crée des remous entre la Côte d'Ivoire et le Burkina. Au-delà de la polémique, virulente, voici les points clés d'une affaire qui suscite autant de bruit que de questions actuellement sans réponses.
Faut-il parler de « putschtape » ? Près de 24 heures après sa publication sur Internet par des personnalités pro-Gbagbo, l’enregistrement présenté comme une conversation entre Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale ivoirienne, et Djibrill Bassolé, l’ancien ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, n’en finit plus de faire le buzz.
... suite de l'article sur Jeune Afrique