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© Le Quotidien par DR
Elections sénatoriales Dimanche 28 juillet 2013. Ouagadougou. Des élections ont été organisées pour élire les représentants des collectivités territoriales au futur Sénat |
Ouagadougou- Plus de 25 000 policiers, gendarmes et militaires ont été mobilisés pour sécuriser la campagne électorale qui s’ouvre dimanche, en vue de l’élection présidentielle du 29 novembre au Burkina Faso, a appris vendredi l’AIB de source sécuritaire.
"Nous avons une coordination au niveau national composée de six sous-commissions, trois coordinations au niveau des régions de gendarmerie, 13 postes de commandements opérationnels au niveau des régions administratives et 45 postes de commandement opérationnels dans chaque chef-lieu de province", a expliqué le président de la Commission de coordination des élections, le colonel Tuandaba Marcel Coulibaly.
Selon le ministre en charge de la Sécurité, Alain Zagré, le gouvernement burkinabè a pris l’engagement de prendre en charge la sécurité de tous les quatorze candidats à la présidentielle.
"Chacun d’eux aura une garde rapprochée et à son domicile (…) du jamais vu au Burkina Faso", a-t-il dit.
Plus de cinq millions de Burkinabè sont appelés aux urnes le 29 novembre pour élire le président et les députés, afin de rétablir l’ordre constitutionnel interrompu après l'insurrection populaire qui a chassé Blaise Compaoré du pouvoir en octobre 2014.
ndt/
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