Blaise Compaoré, président du Faso : « Je me porte bien » #aOuaga

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Blaise Compaoré, président du Faso : « Je me porte bien »

Publié le mercredi 15 mai 2013 | Burkina24

© aOuaga.com par A. Ouedraogo
Crise Malienne :le Médiateur de la CEDEAO SEM Blaise COMPAORE, a reçu le MNLA , le Groupe ANSAR EDDINE, et une délégation officielle du gouvernement malien.
Mardi 04 décembre 2012. Ouagadougou. Le Président du Faso a reçu ensemble le MNLA (Mouvement National pour la Libération de l’Azawad), le Groupe ANSAR EDDINE, et une délégation officielle du gouvernement malien, en vue d’échanger sur les perspectives de sortie de crise au Nord Mali.

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Le président du Faso Blaise Compaoré s’est enfin exprimé sur sa santé ! C’était à Bruxelles en Belgique en marge de la Conférence des donateurs pour le développement du Mali. « Je me porte bien », a-t-il dit l’air souriant et un rien goguenard sur les images retransmises par la RTB lors du 20h de ce jour mardi 14 mai 2013.]

« C’est vrai que m’étais absenté sans faire signe », a-t-il reconnu en se référant à sa sortie du pays à la limite clandestine du 20 mars 2013. Mais il rassure que c’était juste pour « prendre de l’air dans les montagnes » dans le sud-est de la France. Même si les journalistes, qui sont « journalistes en même temps docteurs et tout » selon les termes du chef de l’Etat qui se réfère aux commentaires qui ont alors secoué le Faso en son temps, Blaise Compaoré « pense » qu’il « se porte bien » !

Du reste, s’adressant avec ironie à ceux qui croient toujours mordicus que le « Blaiso » n’est pas au mieux de sa forme, il a déclaré en riant aux éclats que »le jour où je disparaîtrai, j’ai préparé un communiqué »

Bassolé se porte aussi bien

Pour ce qui concerne son ministre des Affaires étrangères que Blaise Compaoré a trouvé à Bruxelles, il semble avoir retrouvé du poil de la bête et s’être remis de son « coup de barre » du 9 mai dernier.

Du moins, si l’on en croit les images toujours de la RTB et les propos que Djibrill Bassolé a tenus. Il a reconnu que ce fait est venu lui rappeler que « la machine humaine a des limites« . Cependant, la mission que lui a confiée la nation demeure importante et à entendre ses dires, son engouement et sa détermination pour accomplir cette mission n’en sont pas affaiblies pour autant.

Abdou ZOURE

Pour Burkina 24

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