Révision du code minier et octroi de nouveaux permis pour l'or, amélioration de la productivité pour le coton… Pour soutenir les deux premiers produits d'exportation, le gouvernement met le paquet.
Baisse des cours sur les marchés mondiaux, grèves, pillages de certains gisements, le tout sur fond de révision du code minier… Au Burkina Faso, l’or tangue mais continue de tenir son rang de premier produit d’exportation. Il représente encore près de 20 % des recettes fiscales du pays. Et si l’apport du secteur minier au budget de l’État a chuté de 12 % en 2014, à 168 milliards de F CFA (plus de 256 millions d’euros), la filière aurifère a vu sa production augmenter. Elle est passée de 32 à 36,5 tonnes d’or de 2013 à 2014.
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