Festival international de GOSPEL de ouagadougou (FIGO 2013) : Le grand rendez-vous des maîtres de la vocalise, le 11 mai à la salle des banquets de Ouaga 2000
Promouvoir la paix par chants d’adoration. Ainsi se décline la volonté de Jacob Daboué et son équipe, à travers l’organisation du Festival international de Gospel de Ouagadougou, qui se tiendra cette année le 11 mai prochain, à la Salle des banquets de Ouaga 2000. L’annonce a été faite lors d’une conférence de presse le samedi le 27 avril 2013. Thème : « Tolérance religieuse pour une paix sociale au Burkina Faso ».
Promouvoir la paix en élevant les voix vers le Plus-haut. C’est bien l’esprit qui sous-tend le Festival international de Gospel de Ouagadougou. Mais l’atteinte de cet objectif nécessite une communion, de sorte à donner plus de force à la louange. Aussi le comité d’organisation du FIGO invite-il le plus grand nombre de Burkinabè le 11 mai prochain à la salle des banquets de Ouaga 2000.
Face à la presse le samedi dernier, Jacob Daboué et son équipe ont dit leur détermination à réussir « un spectacle riche en son et en lumière ». En témoigne déjà le plateau artistique prévu à cet effet. Des ténors de la vocalise, en musique chrétienne comme en musique profane, venant de divers pays. Ce sont notamment : le Chœur de la cathédrale de Ouagadougou, le chœur Notre dame de Mont Carmel de Bobo, le chœur de la Rotonde, Kalyanga, le trio Tériba du Bénin, Iklas, le chœur Saint Dominique Savio de Koudougou, le chœur Gospel Eben Ezer, Toussy, le groupe Yubilaté du Togo, la fanfare de l’église presbytérienne, Jeannot Rasty, la fanfare nationale et, bien entendu, l’Ensemble musicale des amis. Mais en guestar, Tom Brown des Etats-Unis d’Amérique.
En « bonus tract », et pour un raffermissement de l’idéal de paix prôné par le FIGO, un hommage particulier sera rendu à une autorité qui l’incarne très parfaitement : le moro naaba Baongo, au reste grand compositeur de poèmes sur la paix. Au cours de la soirée, les artistes reprendront dans un chœur bouche fermée un des poèmes de sa majesté .
