La directrice du pluralisme et du suivi des programmes des médias du Conseil supérieur de la communication de la République du Niger a effectué une visite aux Editions Sidwaya, le vendredi, 19 avril 2013. Mme Marie-Rose Tamakloé est venue s’imprégner des conditions de travail des journalistes du « quotidien de tous les Burkinabè ».
La directrice du pluralisme et du suivi des programmes des médias du Conseil supérieur de la communication (CSC) du Niger a jugé bon de s’imprégner de l’expérience des médias burkinabè. C’est dans cette optique qu’elle a effectué une visite, le vendredi, 19 avril 2013, à « la maison commune ». A en croire la directrice du pluralisme et des programmes des médias, Marie-Rose Tamakloé, l’objectif de cette visite à Sidwaya est de comprendre le fonctionnement des médias burkinabè. D’où le choix des Editions Sidwaya qui, selon ses dires, est une référence en matière de presse écrite. Le directeur général des Editions Sidwaya, Rabankhi Abou-Bâkr Zida, a remercié l’hôte du jour pour le choix porté sur « le quotidien de tous les Burkinabè ». En matière de régulation, a-t-il indiqué , « Sidwaya est rarement interpellé par l’instance de régulation des médias à cause du professionnalisme des animateurs des différents titres du journal de tous les Burkinabè ». Il a en outre expliqué les ambitions, afin de permettre aux populations burkinabè d’avoir accès à l’information en temps réel. « Nous envisageons installer une imprimerie dans la capitale économique pour que l’accès à l’information ne soit pas virtuel pour les populations mais une réalité », a précisé M. Zida. Mme Tamakloé a visité les salles de rédaction, le secrétariat général des rédactions et l’imprimerie. A l’issue de la visite, Marie-Rose Tamakloé s’est dit émerveillée par le travail abattu par le personnel des Editions Sidwaya pour servir le peuple burkinabè. Pour elle, cette visite aux Editions Sidwaya lui a permis de juger le professionnalisme des auteurs. « A Sidwaya, le professionnalisme des journalistes est un motif de satisfaction dans la mesure où le journal est rarement interpellé par l’instance de régulation », s’est réjouie Mme Tamakloé.