Les autorités de transition burkinabè ne se contentent pas d'avoir arrêté le général Gilbert Diendéré. Plusieurs officiers du RSP suspectés d'avoir participé au putsch ont aussi été interpellés.
Depuis la dissolution du régiment de sécurité présidentielle (RSP), plusieurs officiers ont été mis aux arrêts par la gendarmerie et sont actuellement interrogés dans ses « locaux » de Ouagadougou, affirme une source sécuritaire. Le colonel-major Boureima Kéré, ex-chef d’état-major particulier du président, et réputé être un des proches du général Gilbert Diendéré, a été interpellé le 2 octobre.
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