Des tirs ont résonné mardi soir aux alentours du camp du régiment de sécurité présidentielle (RSP), où plusieurs dizaines de soldats putschistes et le général Gilbert Diendéré, encerclés par des unités de l’armée, refusaient de se plier au processus de désarmement.
Les longues heures de discussions n’ont pu empêcher le bruit des armes. Mardi 29 septembre, en fin d’après-midi, des tirs à l’arme lourde ont été entendus dans les environs du palais présidentiel de Kosyam et du camp Naaba Koom, où est cantonné le RSP. Quelques heures plus tôt, des unités de l’armée, dont des blindés, s’étaient déployées autour du fief des derniers putschistes pour les contraindre à se rendre.
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