Alors que le désarmement du RSP a été suspendu et que la tension reste vive à Ouagadougou, le gouvernement de transition et les anciens putschistes se renvoient la responsabilité du blocage. Gilbert Diendéré est une nouvelle fois au centre des accusations.
« Malgré les gages de bonne foi, le processus de désarmement a été brutalement remis en cause hier 27 septembre par le général Diendéré, qui a fait savoir à ses éléments que le RSP ne saurait être dissous par la Transition et qu’il valait mieux résister », a déclaré le gouvernement de transition, lundi 28 septembre, dans un communiqué.
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