Ouagadougou - Les prises de position quasi unanimes en faveur de la baisse des amendes à payer en cas de diffamation, ont obligé vendredi les députés du Conseil national de transition (CNT), à suspendre une demi-heure les débats pour consulter le gouvernement, a constaté sur place un journaliste de l’AIB.
Les responsables des structures de médias avaient condamné samedi, l’amende de 10 à 15 millions de FCFA, payable en cas de diffamation, tel que le stipule le futur code de l’information qui compte abolir, en contrepartie, les peines d’emprisonnement de journaliste.
L’ancien code de l’information de 1993 condamnait le journaliste à la peine de prison et/ou une amende n’excédant pas un million F CFA.
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Agence d’Information du Burkina