L’Amicale des femmes de la Garde de sécurité pénitentiaire, dans le cadre de ses activités, a initié une séance d’aérobic, le vendredi 30 juillet 2015, à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou, au profit des détenus.
L’Amicale des femmes de la Garde de sécurité pénitentiaire, dans le cadre de ses activités, a initié une séance d’aérobic, le vendredi 30 juillet 2015, à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou, au profit des détenus.
L’ambiance était festive, le vendredi 30 juillet 2015, à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou. Au son de la musique du porte-char de la maison de téléphonie mobile Telecel, les détenus ont déserté les cellules pour prendre d’assaut le terrain de sport, à l’occasion de la séance d’aérobic initiée par l’Amicale des femmes de la Garde de sécurité pénitentiaire.
Qui mieux que la présidente de l’amicale, l’inspectrice Zénabo Sidibé, pour justifier la pertinence l’activité ? « Comme on a l’habitude de le dire, il faut un esprit sain dans un corps sain », a-t-elle lancé avant de soutenir que même si les prisonniers sont privés du droit d’aller et de venir, ils peuvent bénéficier de moments de divertissement. « L’objectif de ces activités est de permettre aux détenus de ne pas se sentir oubliés par la société. Nous qui sommes avec eux sur le plan professionnel, nous savons que leurs conditions de détention sont souvent rigoureuses.
Ces journées sont l’occasion de festoyer un peu avec eux. Vous avez vu qu’il y a du monde qui est venu de l’extérieur. Cela permet aux détenus de se sentir dans la société. On peut les priver de leur liberté d’aller et de venir mais pas du loisir », a soutenu la présidente de l’Amicale. Malgré les difficultés liées à l’organisation d’une telle activité, l’amicale des femmes GSP a rassuré que les détenus bénéficieront d’un repas communautaire et de produits de première nécessité tels que les savons de toilettes.
En plus de la séance d’aérobic, il a été organisé un don de sang, le vendredi 31 juillet 2015. Aujourd’hui et demain, une kermesse aura lieu à la devanture de la MACO.
Cette année, les activités sont organisées sous le parrainage du ministre de l’Urbanisme et de l’Habitat, René Bagoro avec le soutien du ministre de la Justice1
Par RHO
L’ambiance était festive, le vendredi 30 juillet 2015, à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou. Au son de la musique du porte-char de la maison de téléphonie mobile Telecel, les détenus ont déserté les cellules pour prendre d’assaut le terrain de sport, à l’occasion de la séance d’aérobic initiée par l’Amicale des femmes de la Garde de sécurité pénitentiaire.
Qui mieux que la présidente de l’amicale, l’inspectrice Zénabo Sidibé, pour justifier la pertinence l’activité ? « Comme on a l’habitude de le dire, il faut un esprit sain dans un corps sain », a-t-elle lancé avant de soutenir que même si les prisonniers sont privés du droit d’aller et de venir, ils peuvent bénéficier de moments de divertissement. « L’objectif de ces activités est de permettre aux détenus de ne pas se sentir oubliés par la société. Nous qui sommes avec eux sur le plan professionnel, nous savons que leurs conditions de détention sont souvent rigoureuses.
Ces journées sont l’occasion de festoyer un peu avec eux. Vous avez vu qu’il y a du monde qui est venu de l’extérieur. Cela permet aux détenus de se sentir dans la société. On peut les priver de leur liberté d’aller et de venir mais pas du loisir », a soutenu la présidente de l’Amicale. Malgré les difficultés liées à l’organisation d’une telle activité, l’amicale des femmes GSP a rassuré que les détenus bénéficieront d’un repa
En plus de la séance d’aérobic, il a été organisé un don de sang, le vendredi 31 juillet 2015. Aujourd’hui et demain, une kermesse aura lieu à la devanture de la MACO.
Cette année, les activités sont organisées sous le parrainage du ministre de l’Urbanisme et de l’Habitat, René Bagoro avec le soutien du ministre de la Justice1
Par RHO
Présenter à l’opinion les membres du nouveau bureau. C’est dans cette optique que la section des Hauts-Bassins du syndicat national des entrepreneurs du Burkina Faso a organisé cette conférence de presse. Comme il fallait s’y attendre, les membres de cette section ont trouvé l’occasion belle pour étaler leurs préoccupations sur la place publique. Face à leurs invités, les entrepreneurs de Bobo-Dioulasso ont décliné les démarches entreprises à leur niveau en vue de trouver les solutions à leurs préoccupations.
« L’action du syndicat du BTP régional s’est intensifiée ces derniers moments suite à la rencontre avec le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme. Nous n’avons pas ménagé nos efforts pour défendre nos entreprises et faire entendre les inquiétudes de la profession. Des rencontres se sont tenues, avant, et se sont multipliées tout au long des semaines allant du 21 mai au 07 juin 2015 » ont-ils confiés.
Pour eux, le rythme de l’investissement doit être retrouvé dans un avenir proche afin de préserver davantage les intérêts des entreprises BTP du Burkina en général et en particulier ceux de la région, dont les métiers sont pour la plupart surreprésentés sur le territoire. Néanmoins, ils disent avoir pu parler de leurs préoccupations au ministre en charge de l’Habitat et de l’Urbanisme sur la nécessité de régulation du nombre de création d’entreprises BTP ; l’importance de conférer aux outils indispensables ; d’une reconnaissance sur le plan légal et d’étendre son champ d’application à l’ensemble des Services des gérants de marchés ou commandes publiques.
Quant à leurs difficultés, celles-ci s’articulent autour de neuf (09) points. Ce sont, entre autres, l’assouplissement des procédures d’octroi de marchés des petites et moyennes entreprises en supprimant certains critères jugés non pertinents (chiffres d’affaire, capacité financière) ; l’affectation à tout marché BTP d’une avance de démarrage ; l’enregistrement de tout marché BTP aux impôts après acquisition de l’avance de démarrage par l’entreprise attributaire ; la réduction de délai de traitement des dossiers ; l’éclosion de certains marchés de plus de 500.000.000 de F CFA en plusieurs lots pour donner des chances à d’autres entreprises ; le recrutement d’une autorité pour la mise en place d’un panel d’expert pour le contrôle de projets du BTP. Aussi, veulent-ils avoir quatre (04) représentants à la chambre consulaires au lieu de 02 et ce, au regard du nombre croissant d’entrepreneur1
Par Mady BAZIE