Le directeur général du Salon international de l’artisanat de Ouagadougou (SIAO), Dramane Tou, a visité, le vendredi 22 mai 2015, les Editions Sidwaya. Il a apprécié le travail abattu par les travailleurs de la «maison commune» dans leurs missions d’information et d’éducation des citoyens.
Le Directeur général (DG) du Salon international de l’artisanat de Ouagadougou (SIAO) accompagné de ses collaborateurs a apprécié le travail abattu par l’équipe des Editions Sidwaya. Il l’a affirmé lors de sa visite, le vendredi 22 mai 2015 à Ouagadougou à la «maison commune». Selon l’hôte du jour, Dramane Tou, sa visite a été motivée par trois raisons principales : faire connaître sa structure et révéler davantage ses activités aux populations. Il a également fait savoir qu’après sa nomination, le 20 mars 2015, il se devait de venir se présenter et nouer un partenariat gagnant-gagnant avec Sidwaya.
Enfin M. Tou a souligné qu’à travers cette rencontre, sa structure entend déjà préparer le terrain pour une meilleure stratégie de communication avec ses partenaires, les artisans pour la préparation de l’édition 2016 du SIAO.
Le passage du Directeur général du SIAO lui a permis de constater de visu les conditions de travail aux Editions Sidwaya. De la salle de rédaction du sport en passant par celle de l’internet, du quotidien, de la documentation, du secrétariat général de rédaction et de l’imprimerie, le DG du SIAO a pu connaître toutes les étapes de la fabrication du «journal de tous les Burkinabè ».
A la fin de la visite, M. Tou a dit être émerveillé par l’esprit de professionnalisme avec lequel les travailleurs se battent pour informer les Burkinabè. «J’ai vu une équipe de travail bien mobilisée qui montre clairement que les travailleurs de la Fonction publique peuvent bien exceller que ceux du privé », a-t-il révélé. Dramane Tou a également déclaré que la « maison commune » dispose de beaucoup de potentialités en matière de communication qu’il faut travailler à utiliser à 90 %.
Par ailleurs, il a souhaité que l’équipe dirigeante de cette « mémoire du Burkina Faso », travaille à doter l’entreprise de presse de plus de moyens pour l’intérêt national.
Wamini Micheline OUEDRAOGO