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Burkina : Le président Kafando échange avec Cheikhe Hadjibou Soumaré de l’UEMOA
Publié le vendredi 1 mai 2015  |  AIB
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© Présidence par DR
Présidence du Faso : le président de la commission de l`UEMOA reçu en audience
Jeudi 30 avril 2015. Ouagadougou. Palais de Kosyam. Le Président du Faso, Michel Kafando, a reçu en audience le Président de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), Cheikhe Hadjibou Soumaré




Ouagadougou - Le président de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) Cheikhe Hadjibou Soumaré a échangé jeudi avec le président de la Transition Michel Kafando, sur la situation économique, politique et sécuritaire au sein de l’union, a-t-on constaté.

«Comme nous avons l’habitude de le faire avec tous les Etats, je suis venu faire part du programme économique, de la situation sécuritaire et politique dans notre espace (UEMOA), au président de la transition Michel Kafando», a déclaré le président de la commission de l’UEMOA Cheikhe Hadjibou Soumaré ; à sa sortie d’audience.

Pour lui, étant donné que le Burkina Faso est un membre «très actif» dans l’espace UEMOA et partant dans la sous-région, il lui fallait non seulement rendre compte au chef de l’Etat Michel Kafando, mais aussi de bénéficier de ses conseils.

De l’avis de M. Soumaré, de nos jours, la région ouest africaine affiche une forte croissance au plan économique.

«Les tendances macro-économiques sont très bonnes dans notre espace et ce que nos Etats sont en train de faire est, en plus d’être enviable, reconnu au plan international », s’est-il réjouit.

Au plan politique, M. Soumaré a indiqué qu’avec Michel Kafando, ils ont abordé la question de l’élection au Togo et les élections à venir au Benin.

« Au plan sécuritaire, l’une des difficulté à laquelle nous sommes confrontée reste la situation au Mali et le cas de Boko-Haram au Niger », a-t-il poursuivi.

Selon lui, le gouvernement nigérien, avec le soutien de l’institution a engagé une bataille contre Boko-Haram en vue de protéger la population.

Agence d’information du Burkina

rs/
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