Les otages sont de retour, non pas physiquement, mais seulement via une vidéo d’Al-Qaïda au Maghreb islamique, Aqmi. Diffusée ce week-end par un site d’informations mauritanien, elle montre quatre des six otages français enlevés en 2010 au Niger.
Le moment choisi amène la presse à s’interroger, à l’image du quotidien burkinabè L’Observateur qui rappelle les prétentions financières d’AQMI : le prix à payer par Paris pour récupérer les siens serait maintenant de l’environ 50 millions d’euros. Pour le journal, « faire suite aux revendications des preneurs d’otages reviendrait quelque part à alimenter la caisse de l’internationale islamiste et donc à lui donner les moyens de se renforcer davantage ».... suite de l'article sur RFI