Association burkinabè de lutte contre le paludisme : les membres se présentent à la presse #aOuaga

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Association burkinabè de lutte contre le paludisme : les membres se présentent à la presse

Publié le jeudi 12 fevrier 2015 | Sidwaya

Les membres de l’Association burkinabè de lutte contre le paludisme (ABLP) ont présenté leur nouvelle structure aux hommes de média, le samedi 7 février 2015 à Ouagadougou.

A l’issue de l’Assemblée générale (AG) constitutive, tenue le samedi 7 février 2015 à Ouagadougou, les membres de l’Association burkinabè de lutte contre le paludisme (ABLP) ont jugé nécessaire de faire connaitre leur structure associative aux journalistes. Selon ses fondateurs, l’ABLP veut contribuer à la promotion de la santé en général et Ò lutter contre le paludisme en particulier. Pour son coordonnateur national, Dr Joseph Somda, l’ABLP s’inspirera de la politique sanitaire nationale et s’inscrira «dans le cadre stratégique de lutte défini par le programme national de lutte contre le paludisme».

Pour lui, leurs actions seront tournées vers la communauté et viseront à atteindre le plus grand nombre de personnes afin d’obtenir des changements de comportements pour contrer le paludisme. Pour ce faire, la lutte de l’ABLP sera axée sur l’amélioration des connaissances des populations sur le paludisme et les stratégies de lutte, la promotion de l’utilisation des moustiquaires imprégnées, la contribution à une meilleure maîtrise des connaissances sur la maladie, etc. A entendre Dr Joseph Somda, au Burkina Faso, le paludisme constitue un problème majeur de santé publique.

«Il est le premier motif de consultation et d’hospitalisation dans les services de santé et la première cause de décès dans nos structures sanitaires», a souligné Dr Somda. Il a ajouté, qu’il y a incontestablement lieu de repenser la lutte contre le paludisme. Par ailleurs, le coordonnateur de l’ABLP a affirmé que les 13 membres de la coordination nationale vont travailler à mettre en place des structures dans les autres provinces du «pays des Hommes intègres».

Antoine AKOANDAMBOU