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Sidwaya N° 7326 du 31/12/2012

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La promotion de la paix au menu de la VIIIe assemblée générale
Publié le mercredi 2 janvier 2013   |  Sidwaya




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Ouagadougou a abrité, les 27 et 28 décembre 2012, la VIIIe Assemblée générale de la Commission nationale pour l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), sur le thème : « Quelle stratégie pour une meilleure implication dans la promotion de la paix et de la tolérance au Burkina Faso ».

Placée sous le thème : « Quelle stratégie pour une meilleure implication dans la promotion de la paix et de la tolérance au Burkina Faso », la VIIIe Assemblée générale de la Commission nationale pour l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a permis au secrétariat général de faire le bilan du biennium 2010-2011 et de dégager les perspectives pour une meilleure mobilisation de la société civile et de tous les partenaires et ce, conformément au sujet de la rencontre. Selon le secrétaire général de la Commission nationale pour l’UNESCO, Ahmed Baba Soulama, il s’est agi aussi de dégager des pistes pour une mobilisation optimale des partenaires en faveur de la structure. A entendre M. Soulama, l’une des missions fondamentales de la Commission nationale pour l’UNESCO est de contribuer à promouvoir la paix, la compréhension et le respect mutuel entre les peuples, à travers l’éducation, les sciences, ainsi que la communication. De l’avis du secrétaire général du Ministère des enseignements secondaire et supérieur (MESS), Luc Yé, les évènements survenus en 2011 interpellent les uns et les autres à la nécessité de promouvoir une éducation basée sur la culture de la paix et la non-violence. « Si l’on regarde autour de nous, la culture de la violence nous semble trop présente et trop concrète : les bagarres dans les cours d’école, dans les familles, les comportements agressifs, la haine dans les films, le racisme, l’indifférence, l’égoïsme… sont autant de fléaux qu’il faut travailler à endiguer », a-t-il fait savoir. En cela, M. Yé a déclaré que la Commission nationale pour l’UNESCO est plus que jamais sollicitée pour jouer son rôle régalien qui est « d’œuvrer inlassablement » au rayonnement des valeurs de paix et de tolérance.

Nestor BAKI

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