Société
Le Burkina condamné par la cour africaine des droits de l’homme pour violation de la liberté d’expression
Publié le samedi 13 decembre 2014 | Burkina24
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Le Burkina Faso a été condamné par la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples. L’Etat burkinabè a deux ans maximum pour changer ses lois portant répression des délits de presse, en abrogeant notamment les peines privatives de liberté pour les journalistes.
Selon le rapport fait par l’Union panafricaine des Avocats (UPA) sur l’affaire du journaliste Lohé Issa Konaté et publié sur lefaso.net, les autorités burkinabè sont invitées à revoir les lois sur la diffamation et les injures criminelles qui constituent une entrave à la liberté de la presse.
L’Etat burkinabè est condamné à dédommager le journaliste pour avoir violé l’article 9 de la Charte africaine, l’article 19 du Pacte et l’article 44 du Traité révisé de la CEDEAO.
En fait, dans sa décision du 5 décembre 2014, la Cour africaine a donné raison au journaliste Lohé Issa Konaté, directeur de l’hebdomadaire « L’Ouragan » basé au Burkina. ... suite de l'article sur Autre presse
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