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Commune rurale de Saaba : Ipelcé érigé en village
Publié le lundi 1 septembre 2014  |  Le Quotidien




Djéliba a ouï dire que les ressortissants et amis de Ipelcé étaient en fête dans la journée du samedi 30 août 2014. Pour cause Ipelcé, qui était un quartier dans la commune rurale de Saaba, a été érigé en village. La remise officielle du récépissé de l’arrêté qui établit Ipelcé comme un village a eu lieu dans la matinée du 30 août 2014. C’est le chef coutumier de Ipelcé himself qui a reçu le récépissé des mains du Haut-commissaire du Kadiogo. Plusieurs autorités étaient présentes à cette cérémonie hautement symbolique pour les habitants du village. Il s’agit du maire de Saaba, Josiane Kabré, du président du conseil régional du Centre, Patrice Nikièma, et du gouverneur du Centre, Georges Marie Compaoré. Djeliba a appris que l’un des grands promoteurs immobiliers du Burkina, à savoir Julien Ouédraogo, président directeur général de la société Wend Panga international, est natif du désormais village de Ipelcé. Le village pourra porter son destin en main pour booster le développement local, a fait savoir le maire de la commune, Josiane Kabré avant d’ajouter que l’érection du village de Ipelcé constitue un bonus pour sa commune. Elle a exhorté les ressortissants de Ipelcé à accompagner le Conseil municipal actuel, en attendant que les prochaines élections municipales puissent permettre au village d’avoir deux conseillers au sein du Conseil municipal.

Route Dédougou-Nouna-Djibasso-Frontière du Mali : De vives inquiétudes sur la qualité d’un ouvrage à peine réceptionné

La route Dédougou-Nouna-Djibasso-Frontière du Mali pourrait bientôt être au cœur d’un grand scandale. A peine réceptionné en grandes pompes, le 30 juin dernier, par le Président du Faso en personne, cet ouvrage de 143 kilomètres financé à hauteur de 35 milliards de francs CFA par le MCA-BF, commence à troubler le sommeil des populations bénéficiaires de la région de la Boucle du Mouhoun. Djéliba a constaté qu’il croule déjà sous les intempéries qui ont causé de fortes dégradations entre Djibasso et la frontière du Mali, aussi bien au niveau de la chaussée qui se rétrécit et menace de se couper en deux. Cette déconfiture précoce de l’infrastructure est plus préoccupante à Madouba, à Bouakuy et à Dina. Elle relance la question des capacités réelles de certaines entreprises à bâtir des routes de qualité au Burkina Faso.

Commune rurale de Dandé : Chasse gardée de Salia Sanou !

Le MPP/Houet, depuis un certain temps, a entrepris la mise en place de ses structures à la base dans toute la province du Houet. Sur douze départements, les responsables du parti affirment avoir réussi à mettre en place les premiers responsables dans dix départements, excepté Dandé et Bama. Contrairement aux raisons avancées par les responsables du parti au niveau provincial, Djéliba en a entendu d’autres. Selon les informations parvenues à Djéliba, le parti aurait des difficultés à s’implanter dans la commune rurale de Dandé, qui se trouve être le village du maire Salia Sanou. Selon cette même source, « l’homme fort de Bobo » aurait usé de tout son poids, pour dissuader quiconque dont l’ambition serait de militer dans un parti qui puisse mettre en cause sa suprématie dans son « propre village ». L’informateur de Djéliba en veut pour preuve, l’importante somme d’argent injectée par le maire lors de l’élection qui opposait le CDP à l’UNIR/PS, rien que pour « acheter les conseillers de l’ADF/RDA » et pour avoir le contrôle de la commune. Selon l’informateur de Djéliba, Salia serait plus disposé à perdre Bobo-Dioulasso que Dandé. Aussi aurait-il une mainmise sur Dandé, empêchant les partis de l’opposition, notamment le MPP de s’y implanter.

Emplois des femmes et des jeunes de Bobo-Dioulasso : la carte d’électeur comme prix à payer

En milieu de la semaine dernière, les mairies des différents arrondissements de la ville de Bobo-Dioulasso ont été pris d’assaut par des femmes et des jeunes dans l’espoir de tirer au sort un « OUI » qui leur permettra d’être retenus pour les activités de Haute Intensité de main d’œuvre (HIMO). Certes, le tirage semble transparent, mais Djéliba a ouï dire que l’étape qui a précédé le tirage au sort, à savoir la période de dépôt des dossiers aurait été une aubaine pour certains politiques d’augmenter leur potentiel électoral. En effet, d’une source anonyme, Djéliba a appris que des personnes sillonneraient des secteurs et surtout le milieu associatif de la ville pour promettre de l’emploi aux femmes et aux jeunes. En retour, ces derniers devaient leur remettre leurs cartes d’électeur, selon les informations. L’informateur de Djéliba s’inquiète alors de la crédibilité des élections à venir dans cette ville.

Politique : des jeunes du MPP s’en prennent aux démissionnaires de Pabré

Djéliba a appris que des jeunes du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) s’en sont pris aux démissionnaires de Pabré aux Archives nationales, après que ceux-ci ont fini d’animer leur conférence de presse, le vendredi 29 août 2014. Selon la source de Djéliba, les violences ont occasionné des blessures de part et d’autre. Pour sa part, Djéliba souhaite que de tels comportements, de nature à détériorer davantage le climat politique, soient bannis de la scène politique nationale.

Arrondissement 3 de Ouaga : un cross populaire pour soutenir Blaise Compaoré

Ces derniers temps, les jeunes du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) multiplient les initiatives pour soutenir le président du Faso. Ces initiatives ont surtout pour but d’appeler Blaise Compaoré à convoquer un référendum. Ainsi, après l’Association pour la paix au Faso, qui avait organisé l’opération « 10 000 plants, 10 000 jeunes » le 23 août dernier, c’est au tour des jeunes de l’arrondissement 3 de Ouagadougou qui entendent témoigner leur soutien au président du Faso. De source digne de foi, Djéliba a appris que ces jeunes prévoient l’organisation d’un cross populaire le 14 septembre prochain pour soutenir l’action du président du Faso.

MACO : Balla le pétrolier en
liberté provisoire ?

Djéliba a appris de certains confrères et même dans la ville de Ouagadougou que Moussa Diakité, alias Balla Le Pétrolier, présenté à la presse le 19 août dernier pour vol, a été remis en liberté provisoire sous caution. Info ou intox ? Djéliba n’en sait pas grand-chose. Sans doute que les jours à venir nous apporteront plus d’éclaircissements sur cette situation. En rappel, Balla Le Pétrolier a été arrêté avec deux autres amis pour cambriolage dans les pharmacies et les stations d’essence.

Boîtes de nuit à Ouaga : quand Balla Le Pétrolier faisait monter les enchères

On a coutume de voir des jeunes gens s’adonner à la concurrence dans les boites de nuit à Ouagadougou. Il s’agit notamment des enfants de « richards » et d’autres jeunes bien nantis. Font partie de ceux-là, Balla Le Pétrolier, qui avait la réputation de relever tous les défis qui se présentaient à lui, en matière de « boucan » et de « farot ». Selon un averti du show-biz, plusieurs tenanciers de boîtes de nuit ont mal accueilli l’arrestation de Balla Le Pétrolier. Ce dernier a raconté à Djéliba une des scènes de concurrence où il a été lui-même témoin. Selon lui, Balla Le Pétrolier, peu avant son arrestation, est rentré, un soir, dans un night-club. Il y a rencontré des enfants de « gourou » qui n’ont pas manqué de le défier. Le défi consistait pour chacun des concurrents à offrir la plus grosse somme pour une bouteille de vin de mousseux. Il s’agit d’une sorte de vente aux enchères. Pendant que les concurrents, dont Balla Le Pétrolier, s’adonnaient à cœur joie à cet exercice, un autre « boucantier », qui avait moins d’argent cette nuit-là, a décidé de se signaler de la manière la moins attendue. Pendant que tous attendaient qu’i participât aux enchères, le jeune « boucantier » a fait commander deux bouteilles de vins mousseux, mais au prix normal. Il s’est ensuite lavé les chaussures avec. Ce qui a indigné plus d’un dans la boîte. Les esprits se sont échauffés, mais les portiers ont pu mettre de l’ordre. Comme quoi, « boucan », c’est « boucan ».

Ouaga : un charbonnier victime
de braquage

La semaine dernière, Djéliba est resté attentif à une causerie dans un quartier de Ouagadougou. Djéliba a ouï dire qu’un homme, charbonnier de profession, a été victime d’un braquage par deux hommes habillés en tenue militaire. Les deux malfrats, qui disaient être en mission de contrôle, l’ont dépouillé de la somme de 45 000 F CFA. Comme l’a fait remarquer l’un des interlocuteurs, il ne s’agit, en effet, pas d’hommes de tenue. Mais qui sont-ils réellement ? La question reste posée1

Yatenga : des militaires MPP victimes «d’affectations sanctions »

Djeliba a ouï dire que des militants du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) seraient victimes d’affectations arbitraires et de relèvement de fonctions, ces derniers temps. Le cas le plus illustratif est celui du secrétaire général provincial du MPP, Mamadou Ouattara, proviseur du lycée professionnel de Ouahigouya (LPO). Ce dernier a été démis de ses fonctions et remplacé par un autre professeur et ce, depuis le mois de juillet. Et pourtant, à ce qu’on dit, aucun manquement grave, dans sa gestion n’a été signalé depuis qu’il est à la tête de l’établissement. « S’il était resté au CDP, il n’allait pas être relevé », analyse un des camarades. En tout cas, la passation de service est prévue pour la semaine prochaine. Autre chose qui fait jaser l’opinion, est l’affection de Abdoul Salam Boly, représentant régional de la chambre de Commerce, d’Industrie et de l’Artisanat de Ouahigouya. Il a été affecté à Ouagadougou alors qu’il est à une année de sa de retraite. L’intéressé n’est pas un militant actif du MPP, mais la position de son épouse, membre du bureau provincial du MPP/Yatenga serait la cause.

Ouahigouya : l’ex DG des douanes, Ousmane Guiro,
et le fondateur d’une école
à couteaux tirés

Le fondateur de l’Ecole de formation des enseignants du primaire, (EFEP/ Ouahigouya), Brice Ompfoua a mailles à partir avec son bailleur qui n’est personne d’autre que l’ex-DG des douanes, Ousmane Guiro. En effet, bien qu’il soit en avance sur le paiement du loyer, il aurait été sommé de libérer les locaux. Et pour l’empêcher d’avoir accès aux locaux, de gros engins ont été stationnés à l’entrée de l’établissement, le mercredi dernier. Le fondateur qui possède ses documents de location (contrat de bail) a saisi les autorités compétentes pour trancher le différend. Face aux problèmes, le fondateur aurait saisi la justice. Mais, aux dernières nouvelles, un règlement à l’amiable serait la voie privilégiée. Chose que le fondateur n’a pas refusé et en contrepartie de son déménagement, il a demandé le remboursement de la somme de 6 250 000 f CFA remis comme avance de loyer, courant année 2015. Cet épisode ferait suite à l’intention de l’ex-DG des douanes d’occuper les locaux pour mener les mêmes activités de formation des élèves-maîtres dont il a l’autorisation de création. Affaire à suivre !

Djéliba, l’incognito
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