Le parti du Rassemblement des écologistes du Burkina Faso (RDEBF), conduit par son secrétaire général (SG), Adama Séré, était à la rencontre de ses militants, sympathisants de Kalmodo, localité située dans la commune rurale de Dialgaye, province du Kourittenga, le mardi 27 novembre 2012.
Conduite par son secrétaire général (SG), Adama Séré, Rassemblement des écologistes du Burkina Faso (RDEBF), a tenu un meeting pour la conquête des électeurs du village de Kalmodo. D’entrée de jeu, le secrétaire général du RDEBF a invité les militants et sympathisants du parti en particulier, et la population de Kalmodo en général, à sortir nombreux le 2 décembre 2012 pour voter massivement les candidats du parti. Il s’agit de Adama Malgoubri pour les législatives et de Hado Ibrahim Malgoubri pour les municipales, tous deux natifs de la commune rurale de Dialgaye. Le SG du RDEBF Adama Séré a exhorté les militants et l’ensemble de la population du village à rester unis et mobilisés derrière les candidats écologistes pour la victoire des « verts » au soir des élections. Selon le SG du RDEBF, chacun doit pouvoir voter librement en âme et conscience, en faisant fi des gadgets de la campagne, et en pensant à son propre avenir, et celui des générations futures. Les populations ont été invitées à faire le bon choix en élisant « des gens favorables à la participation de l’ensemble des populations aux prises de décisions politiques qui engagent l’avenir de la nation ». M. Séré a, par ailleurs, indiqué que le message fort qu’il a voulu faire passer, est que les militants puissent, dans la paix et surtout dans la non violence, aller voter. Le candidat du Rassemblement des écologistes du Burkina Faso pour les municipales, Hado Ibrahim Malgoubri, est intervenu dans le même sens, en invitant les potentiels électeurs de son parti et la population de la commune à porter leur choix sur RDEBF. « Nous sommes jeunes, et nous avons décidé de prendre notre destinée en main. Nous n’allons plus continuer à voter des gens qui sont au pouvoir depuis 26 ans, qui ne font rien pour nous les jeunes », a-t-il indiqué.