Au lendemain du crash du vol Air Algérie dans le nord du Mali, jeudi, avec 118 passagers à son bord, le président burkinabè s’est rendu sur le site du crash. Le général Gilbert Diendjéré, chef d’état-major burkinabè, décrit un site sur lequel il sera « difficile de récupérer quoi que ce soit ». Les deux boîtes noires de l'appareil ont déjà été découvertes tout de même. Les familles des victimes doivent se rendre sur les lieux du crash, ce samedi.
« Les débris étaient éparpillés sur une distance de 500 mètres », rapporte le général Gilbert Diendjéré, chef d'état-major particulier du président du Burkina Faso et président de la cellule de crise burkinabè, qui s'est rendu vendredi sur le lieu du crash du vol Air Algérie en compagnie de Blaise Compaoré. Le contact avec le vol AH 2017 a été perdu à 1 h 47 TU, jeudi, selon Laurent Fabius, ministre français des Affaires étrangères - soit une demi-heure après son décollage de Ouagadougou. L’avion avait décollé à 1 h 17 (TU) de la capitale burkinabè et devait atterrir à Alger à 4 h 10 TU... suite de l'article sur RFI