Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Burkina Faso    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article




  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Société

Crash Air Algérie: nouvelle réunion de crise à l’Elysée
Publié le vendredi 25 juillet 2014   |  AFP


Manuel
© Autre presse par DR
Manuel Valls, le ministre français de l`Intérieur


 Vos outils




Paris - Une nouvelle réunion de crise présidée par François Hollande se tenait vendredi matin à l'Elysée, alors que l'épave de l'avion d'Air Algérie, à bord duquel se trouvaient 51 Français, selon Paris, a été localisée dans le nord du Mali.

La réunion, qui a débuté à 09h00, est destinée à "faire un point de situation à la lumière de l'ensemble des informations recueillies cette nuit", a indiqué l'entourage du président de la République.

Elle réunit autour du chef de l'Etat, le Premier ministre Manuel Valls, Laurent Fabius (Affaires étrangères), Jean-Yves Le Drian (Défense), Bernard Cazeneuve (Intérieur) et Frédéric Cuvillier (Transports).

Cette réunion intervient alors que l'Elysée a annoncé dans la nuit que l'épave "désintégrée" de l'appareil avait été localisée dans la région de Gossi au Mali, "à proximité de la frontière du Burkina Faso".

Selon le ministère de la Défense, les restes de l'appareil ont été repérés grâce à un drone d'observation français Reaper, basé à Niamey (Niger).

Un détachement terrestre d'une centaine de soldats français a quitté de nuit Gao, la plus grande ville du Nord Mali, pour se rendre sur les lieux, où il était attendu vendredi matin, a indiqué le ministère de la Défense.

L'avion d'Air Algérie, qui effectuait la liaison Ouagadougou-Alger a disparu jeudi, avec 116 personnes à bord dont 51 Français, alors qu'il survolait le Nord Mali.

"Compte tenu de l'état de l'avion, il est fort peu probable, voire exclu, qu'il y aitdes survivants", a déclaré vendredi matin sur France 2 Frédéric Cuvillier, alors que Bernard Cazeneuve a estimé sur RTL que les conditions météorologiques constituaient "l'hypothèse la plus probable" de l'accident.


swi/gf

 Commentaires