Le premier des procès de plus de 300 militaires qui s’étaient mutinés entre mars et juin 2011 au Burkina Faso, s'est ouvert, mardi 27 novembre, à Ouagadougou.
Le tribunal militaire de Ouagadougou a entamé, mardi 27 novembre, le procès de cinq des 346 individus arrêtés lors de la vague de mutineries de mars à juin 2011, alors que l'un d'entre eux est en fuite. Ils sont visés par des chefs d'accusation de pillages, d'association de malfaiteurs, de vol qualifié, ainsi que de détention illégale d'armes et de munitions.... suite de l'article sur Jeune Afrique