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Niger - Burkina : Mahamadou Issoufou, entre Salif Diallo et Blaise Compaoré
Publié le mardi 22 juillet 2014   |  Jeune Afrique


MPP
© Autre presse par Moussa Nagabila
MPP : le trio Roch-Salif-Simon confirmé à la tête du parti
Dimanche 6 avril 2014. Ouagadougou. Stade municipal. Le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) a clos son premier congrès ordinaire par un meeting. Photo : Salif Diallo, 1er vice-président chargé de l`orientation politique du MPP


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Comment le président nigérien Mahamadou Issoufou a-t-il résolu le dilemme de la rupture entre son ami Salif Diallo et son allié Blaise Compaoré ?

La rumeur les dit fâchés depuis la démission de plusieurs cadres du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) au mois de janvier, parmi lesquels Salif Diallo, l'ex-bras droit de Blaise Compaoré. "Il n'en est rien, assure un proche du président burkinabè. Au contraire, leurs rapports sont excellents. Ils s'appellent régulièrement, discutent de tout : de la situation sécuritaire dans le Sahel, de la politique intérieure..."

Il y a sept mois, quand son ami Diallo a rompu avec son allié Compaoré, Mahamadou Issoufou a été confronté à un véritable dilemme. Qui soutenir ? Diallo, un intime qui fait office de conseiller officieux à la présidence nigérienne depuis son élection et qui a fait de Niamey, où il a créé une société, son principal port d'attache en 2012 ? Ou Compaoré, l'homme qui l'a aidé, au nom de la solidarité socialiste, à créer son mouvement, le Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme (PNDS), au début des années 1990, qui lui a fait rencontrer l'ex-"Guide" libyen, Mouammar Kadhafi, et qui n'a jamais cessé de le soutenir quand il était dans l'opposition ?

Intérêts convergents
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