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Burkina Faso - Blaise Compaoré : "Il faudra bien partir un jour..."
Publié le lundi 21 juillet 2014   |  Jeune Afrique


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© Présidence par A.O
20 ans des Engagements nationaux : le secrétaire permanent au rapport chez le Président du Faso
Lundi 2 juin 2014. Ouagadougou. Salle polyvalente de la Présidence du Faso. Le staff du secrétariat permanent des Engagements nationaux est allé faire le bilan des 20 ans de cet ensemble de projets au Président du Faso, Blaise Compaoré


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Son avenir après 2015, la révision de la Constitution, l'opposition, la crise malienne, Hollande, Gbagbo, Sankara... Le chef de l'État burkinabè n'élude aucune question, même s'il faut parfois savoir lire entre les lignes pour deviner ses intentions.
Jeudi 3 juillet, palais présidentiel de Kosyam, Ouaga 2000. On montre patte blanche à l'entrée, ce qui prend cinq secondes puisque notre nom figure sur la liste des visiteurs. Ici, tout est carré. Personne ou presque à l'horizon. Pas de conseillers ni de responsables du protocole, encore moins d'hommes en armes.

On est loin des fourmilières où l'on fait semblant de s'agiter que l'on rencontre si souvent sous d'autres cieux africains. Direction la partie résidentielle du palais, à quelques centaines de mètres. On nous installe dans un des salons à la décoration chargée. Le chef de l'État, Blaise Compaoré, fidèle à ses habitudes, est pile à l'heure du rendez-vous. Décidément, il ne fait rien comme les autres...

S'il ne goûte guère l'exercice de l'interview, et cela se sent, il n'a demandé aucun protocole d'entretien et accepte de répondre à toutes nos questions sans s'y être préparé. Même celles censées le gêner : la fin de son dernier mandat en 2015 et la modification éventuelle de la Constitution, Thomas Sankara, ses anciens lieutenants entrés en dissidence, dont Salif Diallo, compagnon de la première heure et témoin privilégié des trois dernières décennies du Burkina.
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