Le ministère de la Communication tient son premier Conseil d’Administration du Secteur ministériel (CASEM) de l’année 2014, ce mardi 15 juillet 2014, à Ouagadougou. L’objectif de ce conseil servira de cadre pour passer au crible à mi-parcours, les orientations stratégiques du ministère en vue de dégager les insuffisances pour mieux envisager le dernier semestre de l’année 2014.
Présenter, examiner et adopter le rapport du premier semestre de l’année 2014 du ministère ; faire le bilan de l’état d’exécution du projet « renforcement du plateau technique national de la Communication » du ministère et relire les indicateurs du budget programme. Ce sont là les différents points qui seront passés à la loupe au cours de ce 1er Conseil d’Administration du Secteur ministériel (CASEM) 2014 organisé par le ministère de la Communication en ce mardi 15 juillet 2014.
Le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Alain Edouard TRAORE a expliqué, d’entrée de jeu que son programme d’activités mis en route au cours de premier semestre de l’année 2014 découle de sa lettre de mission émanant du référentiel commun qu’est la Stratégie de croissance accélérée et de développement durable (SCADD).
Pour lui, ce premier CASEM vise à passer en revue le programme d’activités en vue dégager les forces et les faiblesses. « Nous allons travailler à réfléchir sur les détails des faiblesses pour envisager comment corriger ces faiblesses et améliorer les choses pour le prochain semestre », a-t-il ajouté.
Nombreux sont les résultats attendus à l’issu de ce conseil. Il a précisé que ses attentes sont particulières. « C’est de faire l’état d’exécution chiffré du programme d’activités 2014 et envisager un plan stratégique de mise en niveau pour faire en sorte que l’ensemble du programme, prévu pour 2014 puisse être exécuté avant la fin de l’année, c’est-à-dire avant décembre 2014 », a-t-il confié.
Alain Edouard TRAORE, à l’ouverture du CASEM, a salué la tenue de ce cadre de concertation sectoriel et a exhorté les participants à avoir des discussions franches afin d’améliorer la performance et l’efficience du ministère. « Je reste persuadé que des échanges sortiront des propositions à même de nous aider à mettre en œuvre efficacement le politique sectorielle du ministère dans les délais prévus dans le programme d’activités », a-t-il stipulé.