La grande finale de la coupe du monde s’est achevée ce dimanche 13 juillet dans le mythique stade Maracaña de Rio de Janeiro. Avec le 4e sacre de l’Allemagne. Une belle victoire acquise de haute lutte avec un impérial défenseur d’origine ghanéenne, Jérôme Boateng. Une finale palpitante très suivie partout il était possible de le faire au travers le petit écran. Ce, malgré l’élimination jugée, à tort, «précoce» des équipes africaines.
En effet, l’Afrique n’a pas à rougir de sa participation à ce niveau de compétition. Car c’est la toute première fois que deux de ses vaillants représentants se sont retrouvés en 1/8e des finales. Respectivement face à la France et à l’Allemagne, le Nigéria et l’Algérie n’ont pas du tout démérité. La victoire a simplement choisi son camp. L’histoire retiendra qu’ils ont toisé ces grands pays de foot jusqu’au bout avant de «tomber les armes à la main».
Il s’agit là d’une invitation aux équipes africaines à mieux faire pour les prochaines fois. Car, elles peuvent bien le faire. C’est l’organisation et surtout la foi aux véritables capacités des joueurs africains qui manquent le plus. Car, si les mêmes stars peuvent faire briller leurs clubs de toutes les victoires au niveau international, il n’y a pas de raison qu’ils n’en fassent pas autant lorsqu’il s’agit de défendre les couleurs de leurs différents pays.
C’est alors que les cinq places dont jouit le continent pour la phase finale de la coupe peuvent être pleinement méritées. C’est ainsi que les prochaines fêtes du foot seront encore plus belles à Yaoundé, Abidjan, Accra, Lagos et Alger pour ne citer que les capitales des «baroudeurs» de Brésil 2014.