Les journaux burkinabè de ce mardi ont abordé des sujets politiques, mais surtout des faits divers.
Aujourd'hui au Faso, le benjamin des quotidiens du Burkina Faso, ouvre le bal en titrant : « Faits divers sur la gendarmerie : Démenti de la marrée chaussée ».
Le journal relate que « Suite à une publication, parue le 4 juillet 2014 dans le n°1105 du journal burkinabè Le Quotidien évoquant un faits divers en rapport avec un agent de la police judiciaire, l'état-major général de la gendarmerie a rencontré ce mardi 8 juillet, les hommes de médias en son sein ».
A ce sujet, le quotidien national Sidwaya titre : « Affaire enseignant cocufié : Le démenti de la gendarmerie », tandis que Le Quotidien affiche à sa Une : « un gendarme cocufie un enseignant et le met en prison : Les arguments légers de la gendarmerie ».
Toujours à propos de faits divers, Le Quotidien évoque le conflit entre agriculteurs et éleveurs dans le village de Tiébélé (Centre-sud du Burkina), avec ce titre : « 5 morts et 8 blessés ».
En politique, L'Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, revient sur les dissensions relatives à la révision de l'article 37 de la constitution dont la modification permettrait au président Blaise Compaoré de se représenter en 2015, en arborant : « Ce que Obama doit dire à Blaise ».
De son côté, Le Pays s'est intéressé à la gestion des baux administratifs, soulignant à sa Une : « De nombreuses insuffisances relevées ».
Au même moment, Aujourd'hui au Faso aborde la cinquième conférence pénitentiaire internationale qui se tient actuellement à Ouagadougou en écrivant en manchette :
« Le Burkina Faso, 1er pays africain à abriter l'évènement ».