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La réussite du processus électoral passe aussi par la formation
Publié le mercredi 18 juin 2014   |  Burkina24


Présidentielle
© aOuaga.com par Séni Dabo
Présidentielle 2015 : les mandants se concertent sur le chronogramme
Mardi 11 mars 2014. Ouagadougou. La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a organisé une rencontre de concertation avec les partis politiques et les organisations de la société civile (OSC) sur le chronogramme des activités préparatoires de la présidentielle de 2015. Photo : Me Barthélemy Kéré, président de la CENI


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A l’initiative du Centre pour la Gouvernance et la Démocratie, des représentants de 13 partis politiques prennent part à Ouagadougou à la formation modulaire Bridge (Bâtir des ressources pour la démocratie, la gouvernance et les élections) sur la résolution du contentieux électoral, ce mardi 17 juin 2014. Avant eux, d’autres acteurs du processus électoral ont bénéficié de formation, dans le but de préparer une élection transparente et paisible en 2015.

Le processus électoral est déjà en marche, au niveau de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), avec l’enrôlement biométrique des électeurs. Plusieurs partenaires de l’Institution en charge de la préparation de l’élection présidentielle de 2015, s’activent à répondre aux besoins des parties prenantes. Participe de ces efforts, la formation donnée à 26 représentants de 13 partis politiques sur la résolution du contentieux électoral.

L’intérêt de cette formation a été souligné par le président de la CENI, Me Barthelemy Kéré: « Les difficultés notamment techniques et organisationnelles des partis politiques dans leur mission de contrôle des opérations électorales sont constatées de manière récurrente, aussi bien par la CENI que par les observateurs électoraux ». Des difficultés qui, selon les observations du CGD, ont pour noms « non-maitrise des opérations électorales par les représentants des partis politiques », « présence limitée dans les bureaux de vote », « relâchement du contrôle et de la surveillance des opérations dès la clôture du scrutin », « la méconnaissance des mécanismes de résolutions des conflits électoraux ».
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