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«L’Agence d’Information du Burkina se cherche une voie» (Béatrice Damiba)
Publié le samedi 7 juin 2014   |  AIB


CSC
© Autre presse par Youssouf Kièma
CSC : le personnel et la presse souhaitent bonne année à la présidente
Vendredi 17 janvier 2014. Ouagadougou. Le personnel du Conseil supérieur de la communication (CSC) et le monde de la presse et de la communication ont présenté leur voeux de nouvel an à la présidente de l`institution. Photo : Béatrice Damiba, présidente du CSC


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Ouagadougou - «Aujourd’hui, l’AIB se cherche une voie et c’est le moment d’amorcer le bon virage pour qu’elle retrouve ses lettres de noblesse», a déclaré jeudi la présidente du Conseil supérieur de la communication Béatrice Damiba, à un moment où l’agence malgré ses cinquante ans d’existence, est confrontée à des problèmes d’ordre organisationnel, financier et matériel.

«Organe de souveraineté par excellence, le contexte de naissance (26 mai 1964, soit un an après la création de l’Union africaine) de ce qui allait devenir l’Agence d’information du Burkina, traduisait le souci de porter la Haute Volta sur l’échiquier médiatique international», a rappelé Mme Damiba à l’occasion de la célébration jumelée du cinquantenaire de l’AIB et du trentenaire du quotidien d’Etat Sidwaya.

Après des années de gloire, l’Agence d’information du Burkina autrefois unique grossiste de l’information, est tombée progressivement dans la léthargie notamment à cause du retrait des bailleurs de fonds pour devenir un simple organe de presse, confronté de surcroît à des problèmes d’ordre organisationnel, financier et matériel.

En 2001, les autorités politiques la greffèrent au quotidien d’Etat Sidwaya pour former les Editions Sidwaya.
«Sidwaya et l’AIB ont subi l’effet du temps. Par conséquent ils ont besoin d’une bouffée d’oxygène en termes d’outils de production, de moyens roulants, d’équipements informatiques et c.», a dit le Directeur général des Editions Sidwaya Rabankhi Abou Bâkr Zida.

Malgré ces difficultés, la co-marraine des festivités a invité les agents de l’AIB à être selon les propos de l’ancien directeur général de l’Agence France presse Paul Louis Bret, «des bénédictins de l’immédiat qui ne sauraient attendre de leur devoir anonyme que la satisfaction de l’avoir accompli».


Agence d’Information du Burkina

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