Le Premier ministre, Luc Adolphe Tiao, a reçu en audience, le mardi 29 avril 2014 à Ouagadougou une délégation de la firme Monsanto. Il a été question, au cours de cette entrevue, du renforcement de la recherche cotonnière au « pays des Hommes intègres ».
Faire le bilan de plus de 10 ans de collaboration entre le Burkina Faso et le groupe Monsanto et informer le chef du gouvernement du nouveau programme entrepris par la manufacture au profit de la population burkinabè. Telle est la raison de la rencontre entre le Premier ministre, Luc Adolphe Tiao, et les membres de la firme Monsanto, le mardi 29 avril 2014 à Ouagadougou. Selon la directrice commerciale Afrique de l’Ouest du groupe Monsanto, Natalia Voruz, son entreprise est venue expliquer au chef du gouvernement, le nouveau programme social mis au profit de la population burkinabè. Aussi, elle a fait savoir qu’à travers ce programme, des fonds seront alloués à différents groupes sociaux pour mener à bien leur activité dans la filière coton ou dans tout autre domaine d’activité. En outre, la directrice commerciale Afrique de l’Ouest du Monsanto, a signifié que leur société a nourri l’ambition de se porter sur toutes les recherches cotonnières. « Et pour preuve, nous avons amené notre génétique cotonnière pour supporter la recherche locale », a-t-elle déclaré. Quant au ministre en charge de l’innovation, Gnissa Isaïe Konaté, il a signifié que la recherche scientifique burkinabè bénéficiera du matériel végétal en l’occurrence des variétés de coton conventionnel. Il a par ailleurs estimé que ce matériel permettra de développer le programme de création de nouvelles variétés.