Le tribunal de grande instance de Ouagadougou doit rendre, ce mercredi 30 avril, sa décision sur la demande d'exhumation du corps de Thomas Sankara, assassiné en 1987. Si l'exhumation est autorisée par la justice, des tests ADN seront effectués à la demande de la famille du président défunt, pour s'assurer que la dépouille dans la tombe est bien celle de Sankara.
La décision a déjà été reportée deux fois. Pour les proches, la justice burkinabè freine la procédure, car elle pourrait gêner les plus hautes autorités de l'Etat.... suite de l'article sur RFI