Lutte contre les pratiques traditionnelles néfastes : de nouveaux défis à relever #aOuaga

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Lutte contre les pratiques traditionnelles néfastes : de nouveaux défis à relever

Publié le lundi 28 avril 2014 | Présidence

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30e anniversaire du CI-AF : Chantal Compaoré rend hommage aux acteurs de la lutte contre l`excision
Jeudi 24 avril 2014. Ouagadougou. Palais présidentiel. La Première dame Chantal Compaoré a offert un dîner aux participants de la conférence internationale sur l`excision dont la tenue coïncide avec le 30e anniversaire du Comité interafricain sur les pratiques traditionnelles ayant effet sur la santé des femmes et des enfants (CI-AF)

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Ouagadougou abrite du 24 au 26 avril une rencontre internationale sur les mutilations génitales et les mariages précoces.

- 21/4/2014

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Activités de la Première dame

La conférence internationale sur les Mutilations génitales féminines(MGF) et les mariages des enfants, placée sous le très haut patronage de l’épouse du chef de l’Etat, Mme Chantal Compaoré, s’est achevée le samedi 26 avril 2014 à Ouagadougou.

Au terme de 72 heures de réflexion, le comité interafricain sur les pratiques traditionnelles ayant effet sur la santé des femmes et des enfants (CI-AF) a procédé au renouvellement de son bureau et formulé de nouvelles recommandations.

La présidente sortante, Mariam Lamizana, a été reconduite à son poste. Elle est secondée par deux vice-présidents, de nationalité ghanéenne et djiboutienne.
La conférence a également débouché sur de nouvelles orientations allant dans le sens de l’intensification de la lutte contre les MGF et les mariages des enfants.

Le CI-AF s’est engagé, entre autres, à assurer la mise en œuvre de la résolution 67/146 des Nations unies pour l’interdiction des MGF, à développer et renforcer la législation sur les pratiques traditionnelles néfastes incluant les actions pénales contre leurs auteurs et complices.
Les acteurs de la lutte contre les MGF et les mariages des enfants entendent également développer des stratégies afin de susciter un changement de comportement et donner le même statut juridique aux différents types de mariage.

Pour y arriver, le CI-AF a, une fois de plus, sollicité le soutien de la première Dame du Burkina Faso, ambassadeur de bonne volonté de la structure, notamment dans le plaidoyer et le lobbying pour une mobilisation plus accrue des ressources financières.

Mme Chantal Compaoré a dit avoir pris acte de la nouvelle feuille de route du CI-AF et félicité l’ensemble de ses membres et affiliés pour le travail abattu.
Elle les a surtout invités à œuvrer, sans cesse et dans la solidarité, en vue d’atteindre la tolérance zéro contre les MGF et les mariages des enfants.

La Direction de la Communication de la Présidence du Faso

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