Ce mercredi 2 avril, le tribunal de grande instance de Ouagadougou se prononce sur une demande de la famille de Thomas Sankara d’exhumer le corps de l’ancien président assassiné en 1987, pour effectuer des expertises ADN et vérifier que c’est bien sa dépouille qui repose dans sa tombe.
Une manière, assure la défense de la famille, de faire son deuil. Mais il y a aussi d’autres enjeux. ... suite de l'article sur RFI