Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Burkina Faso    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article




  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Burkina Faso : l’ADF reste dans la majorité, mais contre la modification de l’article 37
Publié le mercredi 19 mars 2014   |  La Voix de l'Amérique


Le
© Présidence par DR
Le président du Faso, Blaise Compaoré, a échangé avec des délégués des femmes du Burkina le 6 mars 2014 à Banfora dans le cadre du 4e Forum national des femmes du Burkina


 Vos outils




« Nous sommes pour la limitation du principe des mandats présidentiels afin de permettre un renouvellement de la classe politique », explique Gilbert Ouédraogo, le président du parti.

Au Burkina Faso, l’Alliance pour la Démocratie et la Fédération/Rassemblement Démocratique Africain (ADF/RDA), a tenu son congrès ce weekend.

Ce parti clé de la majorité présidentielle a pris deux décisions importantes. D’abord, il réaffirmé son opposition à la modification de l’article 37 de la constitution limitant le nombre de mandats présidentiels à deux.

Et, plus surprenant, le parti, qui avait soutenu Blaise Compaoré lors des dernières présidentielles, a décidé de présenter son propre candidat à l’élection présidentielle de 2015.

« Nous sommes pour la limitation du principe des mandats présidentiels afin de permettre un renouvellement de la classe politique », explique Gilbert Ouédraogo, le président du parti.

Gilbert Ouédraogo au micro de Bagassi Koura.

Alors question: le parti ADF/RDA fait-il partie de la majorité présidentielle au Burkina Faso ?

« Nous sommes de la majorité », insiste Me Ouédraogo, l’ancien ministre des Transports qui est aussi l’actuel maire de Ouahigouya, dans le nord du Burkina Faso.

Pour lui, il n y a rien de surprenant dans cette position. « Les positions que nous défendons aujourd’hui sont des positions de principe qui sont conformes à nos textes organisationnels, à notre programme politique, et ne sont pas contre une personne », explique Me Ouédraogo.
... suite de l'article sur Autre presse


 Commentaires